Les labyrinthes de la douleur
sur The Case of Kimble au format (178 Ko)
Contient : rumeurs (5)(...) De son interprétation du Nécronomicon, il tenta de mettre sa théorie en pratique, il conclut que par la souffrance, le corps humain pouvait atteindre un stade de purification extrême. Mais lesrumeursde plus en plus envahissantes et gênantes qui fusaient autour de leur société secrète, obligèrent Gales et Santini à s'enfuir à New York, en Amérique, en 1908, perdant de ce fait, le repaire de la secte, Greenhouse, une maison bâtie par Santini, dont les murs étaient ornés de fresques représentant Nodens et ses condisciples, les maigres bêtes de la nuit... Pendant une longue période Santini, et Gales ne firent plus parler d'eux, mais se concentrèrent davantage sur leurs recherches. (...)
Si on le questionne à propos du meurtre de la petite Christie, il ne sait pas grand chose, juste derumeurs, il pense que le vieux Harris en sait plus sur cette affaire, d'après lui, c'est lui qui aurait découvert le corps sans vie de la petite. (...)
Dans un premier temps, il leur montre une photo de maison et leur dit : « C'est bâtisse s'appelle Greenhouse et se trouve à Liverpool, cette demeure est à l'origine des toutes premièresrumeurssur la secte de Nodens c'était en 1904 » Il montre pratiquement la même photo avec les anges et poursuit : « Vous voyez ces diables, ils sont toujours présents dans le sillage du groupe d'ailleurs, ce sont eux qui m'ont fait penser à un lien possible avec votre histoire, ce cliché provient de cette même maison, c'est le détail d'un mur au première étage. (...)
» Johnson ne pense pas qu'il s'agisse simplement d'une réunion de simples fanatiques et qu'il faut savoir que Santini était très populaire à l'intérieur des réseaux londoniens, il est normal qu'un tas derumeursait circulé à son sujet. Si on leur questionne à propos desrumeurs, le professeur parle de certaines disparitions et d'enlèvement un peu partout sur leur passage toujours dans des lieux bien distincts pour éviter de se faire repérer. Si on lui demande ce qu'est devenu Santini, il dira : « Il s'est produit un fait curieux, en 1918, il s'est fait arrêter par la police à New York, j'ai appris ça par hasard et cela a attirer mon attention, cette affaire est passée quasiment inaperçu, j'ignore ce qu'il avait fait mais je pense que cela était un sale coup parce qu'on la condamné à une lourde peine, je ne sais pas si on l'a extradé. (...)Le spiritisme et tout ses dérivés étaient très en vogue au début du siècle, d'ailleurs de nombreux cercles ésotériques furent crées à Londres, la capitale du monde... C'est dans cette ville, en 1902, que Charles Gales, médecin de bonne famille y goûta pour la première fois. Ces petites séances lui permettaient de souffler, de décompresser et un peu d'oublier ses nombreuses heures de travail. Là, il se prit d'amitié avec Santini, un petit scientifique de Liverpool. Très vite, ils y tissèrent ...