L´île oubliée
sur Daiklave au format (266 Ko)
Ce scénario propose de faire jouer un groupe typique de jeunes sang-dragons. Ce sont donc des personnages crées à la création, sans expérience particulière, qui partent à l'aventure lors de leur année d'exploration du monde. Ils ne connaissent encore que le monde tel qu'un dynaste impérial doit le connaître, modifié par les expériences et savoirs qu'ils ont acquis lors de leurs études supérieures. Le scénario propose de rassembler un groupe en donnant une raison commune à leur exaltation ...Contient : fleurs (5)(...) Les habitants ont le teint mat et cuivré et les cheveux dans les tons noirs aux reflets bleutés, et sont habillés de très simples chemises et pantalon large de grosse toile, les femmes avec des robes un peu plus colorées et des foulards brodés àfleurs. Une grande voie de terre battue part du port pour aller dans la direction du lagon, rapidement engloutie par les palmiers. (...)
Un étrange parfum arrive même jusqu´à leurs narines, fort différent de l´habituelle odeur de la cale sèche où ils sont enfermés. Il s´agit d´un mélange de parfums defleurset d´huiles odorantes étrangement mélangées et assez forte pour venir jusqu´à eux. Ils sont toujours gardés par trois pirates Linthas. (...)
La ville est à étage, finissant par un palais de maharadjah fait de coquillages nacrés, des rideaux de perles aux fenêtres, des coupoles et des tours faites d´immensesfleurscomme des tulipes ou des lotus à demi éclos. De nombreux navires beaucoup plus normaux sont amarrés aux quais qui rayonnent de la cité, même si certaines embarcations n'appartiennent pas à ce monde, car faits de cristal ou de conques, ressemblant plus à des chars qu'à des navires. (...)
Néanmoins, cet enfer vert regorge néanmoins de reptiles ou de singes comestibles, d'oiseaux aux plumages chatoyants, de fruits exotiques inconnus et defleursmagnifiques. Il s'agit tout de même de présenter les merveilles d'une telle île malgré ses dangers. (...)
Ce sont néanmoins des dieux, et ils n'agissent pas comme des mortels, cherchant visiblement à se lier à leurs demeures comme sanctuaires. Plus on monte, plus la cité retrouve sa majesté d'antan, la végétation devenant des ornements, lesfleurscréant des mosaïques, et de petits dieux restant immobiles comme des statues ou soumis aux dieux plus importants, ayant la formes d'oiseaux tropicaux, de babouins blancs aux colliers d'obsidienne, de lézards rayés et emplumés... Ils sont menés jusqu'aux marches de la ziggourat d'obsidienne, en fait constituée d'une face seulement qui recouvre le flanc du volcan comme un manteau de pierre, En son sommet se trouve une façade monumentale aussi grande qu'une cathédrale, taillée dans la roche, et décorée de bas-reliefs d'hommes-dragons vénérant une divinité représentée comme le soleil lui-même. (...)