Qu'on lui coupe la Tête
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Contient : bouche (3)(...) Si Jonathan Bayle est joué, il a un petit miroir qui lui sert à vérifier que ses patients respirent. Seul le Pixie peut passer au travers. OUVERTURE Cette ouverture n'est qu'un teaser, une mise enbouchen'ayant qu'un rapport lointain avec la suite du scénario. Un savant fou et cerveau du crime, Arnold Fowler, s'est allié avec un Gobelin, Melkior, maître des illusions, pour créer une machine infernale capable de dérober l'image de n'importe quel objet ou être vivant. (...)
Elle exige également qu'on se tienne bien en sa présence : « Levez la tête, parlez distinctement... et ne tortillez pas vos doigts ! La pointe des pieds en dehors, faites la révérence, ouvrez labouche, ouvrez-la grande, et répondez toujours : OUI, Votre Majesté... » « Qu'on leur coupe la tête ! » « Si jamais je perdais mon sang froid, quelqu'un perdrait la tête... » « Faites la révérence au lieu de croire, et sachez qu'une tête, ça se coupe. (...)
Le Bandersnatch « Une gueule gris métallisé apparut entre un rocher et un buisson. Des yeux pâles brillaient juste au-dessus et des filets de salive bleutée gouttaient d'unebouchesombre pour se changer en fumée au contact du sol. [...] Le monstre apparaissait - nombreuses pattes, queue démesurée, écailles sombres, corps sinueux et rapide. (...)Les personnages forment un groupe d'amis, réunis autour d'Alice, la jeune fille dont les aventures au Pays des Merveilles a inspiré les oeuvres de Lewis Carroll. Le rideau se lève sur les personnages qui pénètre dans le repaire d'un savant fou, qui tient Londres en respect sous la menace d'une machine infernale faisant « disparaître » les monuments de la ville. Les personnages devront le neutraliser dans son dirigeable au-dessus de Londres. Le scénario à proprement parler commencera quand les ...