Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : dernier (7)(...) S'il est posé sur sa droite, de manière à ne pas pouvoir être dégainé facilement le samouraï affirme implicitement qu'il a confiance en son hôte. S'il la pose sur sa gauche, il laisse entendre qu'il se méfie de son hôte ou que cedernierdoit se méfier de lui. Si l'invité passe dans une autre pièce ou même dans un autre coin de la salle où il se trouve, il emmène son épée. (...)
L'une d'elle, poignante, mais bien réelle, consistait à pratiquer le seppuku lorsque, ne pouvant déroger au devoir de loyauté envers son seigneur et ne pouvant se permettre de faire des remontrances à cause d'un comportement irresponsable de cedernier, le samuraï se donnait la mort en signe de protestation, une forme de gage d'absolue loyauté et de don de soi ultime nommé Kanshi(évidemment, ici, l'autorisation n'est pas demandée). (...)
Quant au Funshi, c'est un type de seppuku pratiqué par les samouraï qui ne peuvent assouvir leur besoin de vengeance du fait qu'ils ne peuvent atteindre physiquement leur ennemi. Cedernierse fait en public. Suite au Funshi, lorsque la famille du samouraï fait une demande de Katakuichi contre cet adversaire, il est rare que la vendetta soit refusée par les autorités. (...)
Kirisutegomen : Tuer et s'en aller ! Voilà succinctement exposée cette coutume qui était dévolue une fois encore au samouraï. Cedernieravait le droit de tuer un heïmin ou un eta (intouchable) si cedernierprésentait un comportement inapproprié, une attitude incorrecte ou 'commettait' une action que le samouraï estimait répréhensible (un air bourru par exemple). De fait, la chose reste très relative. (...)
Lorsque la lame du sabre est pliée convenablement, qu'elle est de longueur adéquate et qu'elle possède une courbe qui siée au forgeron, cedernierdégrossit les défauts à l'aide d'une pierre polie et peaufine les détails. Puis vient le moment du polissage. (...)
25 plis le classent dans les trois premiers rang, 23 le relèguent au 4ème et douez le précipitent vers l'humiliation des 6dernierrangs. Définie au départ par la naissance, cette hiérarchie s'assouplira par la suite et il sera possible de gravir un échelon ou deux vers les rangs supérieurs pour services rendus à l'empereur. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...