Traditions & Us et coutumes médiévales Japonaises
sur Terres Mythiques
Contient : nobles (8)(...) En entrant dans une maison, la courtoisie demande que le Samouraï retire le Katana de sa ceinture, toujours dans son fourreau, pour le laisser à l'entrée. Dans les maisonsnoblesou riches, une servante attend à la porte pour recevoir les armes. Celles-ci sont rangées dans un râtelier spécial, et sont rendues à leur pos-sesseur quand il part. (...)
Deux ans passèrent et il ne revint pas. Trois ans passèrent et sa tête revint". Voyager : Tous les japonais se déplacent à pied. Seuls lesnobleset les samouraïs en mission officielle ont le droit de chevaucher sur les routes. Le palanquin est une autre solution, plus rapide et le voyageur est alors porté de relais en relais. (...)
Les samouraïs doivent montrer la même déférence envers la suite d'un noble. En fait, même les chefs de clan les plus puissants sont encore d'un rang inférieur auxnoblesimpériaux et doivent s'agenouiller quand l'un d'eux se déplace (en revanche, lesnoblessont souvent beaucoup plus pauvres que les seigneurs. Un noble peut parfaitement extorquer de l'argent à un seigneur en le menaçant de faire un voyage en même temps et au même endroit que lui. (...)
Les samouraïs n'avaient pas le droit de porter de soie violette sans la permission de leur seigneur. Les roturiers n'avaient pas droit du tout à la soie. Les palanquins ne pouvaient servir qu'auxnobles, aux seigneurs et à leurs parents, aux médecins, aux devins, aux prêtres, aux malades et aux personnes âgées. (...)
), il fera alors connaissance avec les parents de son épouse qu'il ne connaissait pas encore... Le rôle et l'art du costume : Si les paysans de l'ancien Japon portaient un costume extrêmement simple et, comme nous dirions, fonctionnel, il n'en était pas de même desnobleset des gens de cour dont une étiquette fort rigoureuse réglementait la garde robe, celle-ci constituait en quelque sorte une carte d'identité précise qui permettait, d'un coup d'oeil, de déterminer a rang, parfois même la fonction du noble seigneur ou de l'imposant guerrier qui l'arborait. (...)
Pour travailler aux champs, homme et femmes, lorsque le soleil était ardent, réduisaient au maximum leur costume et travaillaient torse nu. Par contre dans une société aussi sévèrement hiérarchisée, les costume desnoblesou des fonctionnaires témoignaient d'une recherche et d'un raffinement autrement complexes. D'une manière générale, s'il était courant qu'un riche citadin confiât à son costume le soin de suggérer son rang à la cou ou le degré de ses richesses, c'était toujours. (...)
Là encore, c'est la couleur qui détermine le rang, et vice versa ; en partant du sommet de la hiérarchie on passait du violet foncé et clair au vert foncé et clair, puis au raisin foncé et clair pour arriver au noir tout au bas de l'échelle. Lesnoblesn'avaient grand chose d'autre à faire que leur toilette pour laquelle ils pouvaient passer des heures entières chaque jour. (...)Le Mon : est l'équivalent occidental du blason. Il est mis sur les armures des guerriers et sur le kimono des vassaux de la famille. Sur les champs de bataille, les guerriers ont toujours des drapeaux dans leur dos pour montrer son appartenance et éviter la confusion. De bonnes manières : L'haleine : les gens polis ne souillent pas de leur haleine les personnes d'un rang supérieur au leur. Il en va de même des femmes vis à vis des hommes. C'est pourquoi les japonais ...