Jack is back !
sur Toc : Trouver Objet Caché au format
Alors qu'ils traquaient paisiblement du Grand Ancien dans le fog londonien, les investigateurs sont confrontés à un meurtrier bien humain qui semble avoir une dent contre les rouquines. Pour cette fois, laissez tomber les caisses de sortilèges et les bâtons de dynamite, mais munissez-vous de serpillières parce qu'il va y avoir du sang à éponger : l'Éventreur est de retour. Londres en novembre, Noël en décembre... Les investigateurs se trouvent à Londres pour assister à un congrès d'archéologie ...Contient : appartement (6)(...) Mercredi 16, dans la soirée Les personnages l'apprennent par les journaux du soir : un nouveau crime a été commis. Il s'agit du meurtre de Miss Jane Preston, retrouvée éventrée dans sonappartementde Grosvenor street (à quelques pas de la boutique Leclerc's). Les PJ ne manqueront sûrement pas de se rendre sur les lieux. (...)
Ce n'est pas une rousse : jeudi 17, le soir : Les investigateurs sont contactés par l'inspecteur Potter qui leur donne rendezvous dans un petitappartementdu quartier d'Holborn (dans le centre de Londres). Cetappartementest celui de la dernière victime supposée du nouvel éventreur. Il ne s'agit pas d'une jeune femme rousse aux yeux verts, mais d'un vieil homme, le Dr Clarence Stutter. Il suffit de jeter un coup d'oeil à l'appartementpour comprendre que le Dr Stutter était un spécialiste d'occultisme les nombreuses bibliothèques croulent sous les livres et les ouvrages consacrés à la sorcellerie en Angleterre et en Europe. (...)
C'est une voisine qui a aperçu la veille au soir un homme sortir de la maison de Stutter. La description de cet homme correspond à celle qu'a faite Miss Sinead Yougs. Les livres, l'appartement: Des jets de Bibliothèque et de TOC peuvent permettre de découvrir les indices suivants : * Plusieurs pentacles et signes magiques ont été tracés à la craie au-dessus des différentes issues de l'appartement. Un test d'occultisme permet de comprendre que ce sont des glyphes de protection. * Quelques ouvrages font une discrète allusion au Mythe. (...)