Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : ateliers (4)(...) C'est en taxant ce pied-à-terre, souvent un hôtel particulier, mais aussi des hôtelleries et des boutiques, desateliersartisanaux, etc. que l'oasis obtient une partie de ses ressources. Enfin, le grand souk est le lieu hors les murs où les conflits des habitants des deux médinas se résolvent. (...)
Bien qu'elle ne prenne ses décisions importantes qu'en public, et en respectant les codes nomades, la guilde possède à Yasminabad de nombreux bâtiments, finance desateliers, des écoles d'art, de magie et d'escrime, et est considérée par chacun comme un troisième pouvoir. (...)
Les quartiers qui lui sont directement accolés sont essentiellement des lieux de commerce où se côtoient souks,ateliersartisanaux et comptoirs marchands. L'école des voyageurs : Enseignant aussi le commerce, celle-ci revêt moins d'atours officiels et administratifs pour se rapprocher davantage des origines primitives et bédouines du peuple saabi. (...)
Au nombre de trente, les tisseurs sont tous des artistes à la fois révérés et craints. Mages dans une cité de mages, il possèdent un statut de quasi noblesse et vivent dans desateliersrichement décorés où circulent les parfums des encens les plus voluptueux et des thés les plus fins. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...