Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : descendants (2)(...) Loin de leurs terres d'origine, ces hommes ne sont pourtant pas des étrangers à Yasminabad. La grande majorité est composée dedescendantsde prisonniers des anciennes guerres de reconquête de Jazîrat. Agalanthéens de sang, ces peuplades sont jazîrati depuis des millénaires. (...)
Quartier commerçant et diplomatique, le comptoir abrite entre autres choses une école de gladiateurs (et l'arène qui va avec), une petite académie de rhétorique, un théâtre largement délabré mais accueillant encore quelques festivités et surtout, un nombre incalculable de logements pour les ouvriers des mines du désert des gouffres. En effet, depuis l'existence de Yasminabad, les prisonniers agalanthéens et leursdescendantsont toujours été envoyés à la mine. Avec le temps, s'ils ne sont plus prisonniers, les plus pauvres d'entre eux sont restés les travailleurs de la mine. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...