Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : krek (2)(...) On y trouve un haras arakognan, des orfèvres shiradim, des mercenaires agalanthéens, des tanneurs dorkades, et même des cavistes étrusiens, des guideskrekkaos et des danseuses de Nir Manel. L'enchevêtrement des rues ouvre sur de nombreuses places de marché bordées d'auberges en tout genre, où tout se trouve, tout se vend. (...)
Sans être soumise à l'autorité de l'école, la compagnie Almansur se comporte comme si elle l'était, respectant l'autorité de chacun de ses représentants et assurant la sécurité des hommes qui la représentent, des rues qui en sont tributaires, etc. Composée à seulement cinquante pour cent de Saabi, la compagnie regroupe des Escartes, desKrekkaos, des Agalanthéens, des Shiradim et des Alfariqani sans distinction d'origines dans sa hiérarchie et son fonctionnement. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...