Les Carnets de Yasminabad : l'oasis de Yasmina
sur Deadcrows Studios au format (20.4 Mo)
Contient : poussière (2)(...) Usant des traditions nomades et des lois du commerce saabi, se réfugiant derrière l'image de ses caravaniers couverts de lapoussièredu désert, elle n'en est pas moins un groupement extrêmement riche ayant un poids politique à Jergath-la-Grande comme dans certaines villes du Capharnaüm. (...)
Bien que vivant en ville, ces hommes et ces femmes semblent en permanence sortis d'un trou de sable. Couverts depoussière, n'usant que de la mémoire orale et jamais de l'écrit, n'utilisant les bâtiments en dur que pour stocker vivres et matériel et pour loger les bêtes, les mages bédouins de l'Al-Alaeddine ont depuis toujours appliqué, avec plus ou moins de bonheur, la culture nomade à la vie urbaine. (...)Histoire : La légende de Yasmina. En 2501, deux frères saabi, tous deux proches neveux du prophète Hassan, tombèrent amoureux de la même femme. Celle-ci était si belle qu'on la prétendait inhumaine, sans doute issue de l'amour d'un homme et d'une déesse. C'était le temps où les dieux marchaient encore sur la terre, cela paraissait possible. Yasmina, c'est ainsi qu'elle se nommait, était danseuse dans une petite oasis située dans l'un des endroits réputés pour être les plus dangereux ...