Ultima necat
sur La Cour d'Obéron au format (277 Ko)
Il s'agit d'un scénario d'introduction à Wraith : les PJ commencent comme simples mortels, trouvent accidentellement la mort au cours du scénario, et découvrent le Monde des Ombres en tentant d'échapper à des trafiquants d'esclaves. Ce scénario fournit également les décors d'un lieu hanté, morbide à souhait, qui pourra devenir un repère pour les PJ. I. Synopsis. Les PJ sont des vifs demeurant ou voyageant dans l'est de la France. Pour des raisons personnelles, chacun d'entre eux doit se ...Contient : voie (5)(...) Les fenêtres deviennent noires, mais un PJ attentif pourra remarquer un feu rouge dépassé à toute allure (Le conducteur de la locomotive, troublé par l'arcanos Pandémonium du brigadier Chapuis, ne l'a pas vu, et se rue donc à pleine vitesse sur une section de lavoieen travaux...). Même si un PJ se précipite sur la manette d'arrêt d'urgence, il est trop tard : les PJ sont propulsés dans le compartiment par un choc terrible, dans un fracas monstrueux de tôles froissées, et les lumières s'éteignent alors que tout se disloque et se convulse autour d'eux. (...)
Les rails sont couverts par une couche de rouille qui a aggloméré rivets et boulons, le ballast de lavoieferrée craque sous le pas des ombres, formé d'un mélange de gravier effrité et d'ossements broyés. (...)
Les PJ sont enchaînés avec les autres, et la colonne entre à nouveau dans le tunnel, le traverse et poursuit sa route au-delà, le long de lavoieferrée spectrale. En chemin, les esclaves pourront être soumis à divers mauvais traitements. Le docteur Gluckmann, le Traminot et le brigadier Chapuis surveillent étroitement leurs captifs. (...)
Rendue quasiment impraticable par la rouille et les herbes folles qui l'obstruent. Un personnage qui la force de l'intérieur dans le Monde des Ombres se retrouve face à unevoiede pierre usée, qui s'enfonce dans les ténèbres de la Tempête en direction de Stygia... 4. Puits. (...)
Lorsqu'un danger menace les voyageurs d'un train, il se manifeste à l'entrée du tunnel, sur le bas-côté, en agitant désespérément une loque grisâtre marbrée de taches brunes (la chemise qu'il portait lorsqu'il est mort...). Lorsque son côté sombre le domine, il apparaît sur lavoieferrée, debout, regardant droit dans les yeux le conducteur de la locomotive... Jean Bonner, alias le Signaleur chez les ombres, s'est suicidé en 1964 en se jetant sous un train à l'entrée du tunnel de Ville-sur-Onde. (...)