Le court Sommeil de l'Italie
sur Eastenwest
Contient : troupes (4)(...) En 1864, avec la signature du Second Pacte, auquel n'est pas conviée l'Italie, Napoléon III retire sestroupeset signifie à l'Italie qu'elle ne pourra plus compter sur son aide contre l'Empire d'Autriche. (...)
Histoire classique Dans le monde tel que l'a connu Tom Olam, l'histoire est un peu différente, mais n'est d'aucune utilité pour le scénario : Napoléon III a aidé Victor-Emmanuel, alors Grand-Duc de Piémont-Sardaigne, en le soutenant militairement contre l'Empire d'Autriche-Hongrie, qui possédait une large part du nord-est de l'Italie. Lestroupesfrançaises ont ainsi infligé une rude défaite auxtroupesautrichiennes dans les Alpes, à Solferino, en 1859, puis ont estimé qu'elles avaient rempli leur contrat, permettant à Victor-Emmanuel de se construire un vrai royaume, et ont pris leur payement : la Savoie et le comté de Nice. Quelques semaines de plus et l'Autriche perdait Venise, mais celle-ci devait rester impériale pour quelques décennies de plus. (...)
Alors Napoléon III intervient, et empêche les Italiens de prendre Rome, ceux-ci se contentent de la Romagne, large territoire sous l'autorité du Pape au Nord-Est de la cité sainte. En 1870, Napoléon III retire sestroupesde Rome pour se défendre contre la Prusse, et les italiens ne laissent plus que le Vatican au pape Pie IX. (...)Victor-Emmanuel, Roi d'Italie, goûte enfin à la tranquillité dans son jeune pays, aussi éloigné que possible de son ancien allié et son ancien ennemi, occupés dans leur guerre larvée contre les technocraties du Nord. Mais si l'Empereur Napoléon III ne peut plus envoyer ses armées pour aider la Lombardie, il compte sur ses meilleurs agents pour contrer les manigances prussiennes Synopsis Le scénario est construit sur un complot qui utilise deux centres névralgiques : Milan, que les ...