Romeyro doit mourir
sur Eastenwest
Contient : visage (4)(...) Je fronce les sourcils, contrarié par le bruit, et je règle sans un mot trois ou quatre fois le prix de la pomme. De rubicond de colère, levisagedu marchand passe à rouge de honte mais je ne le vois pas ; à peine l'ai-je regardé. Mon père m'a appris cela, l'homme du peuple est faible d'esprit, ' si tu es pris en faute tu peux toujours en ressortir grandi : paye le triple du prix '. (...)
Il faudra attendre quelques temps avant que l'importance de ce détail la frappe et qu'elle tente de reprendre contact avec les personnages pour leur parler d'Esmiriald. Notons au passage que Laëlith a unvisagefin mais arrondi qu'on ne saurait qualifier d'anguleux. Une confrontation à la Corne D'or achèvera de convaincre qu'il s'agit là de la jeune fille d'avant, pas de celle du jour du crime. (...)
Elle se rappelle précisément de cette odeur méphitique qui semblait sourdre de la silhouette immense, et la voix caverneuse étouffée par les hardes sales qui couvraient sonvisage... Quinze ans payés d'avance, le tout en joyaux d'une pureté absolue. Comment refuser ! Devant Esmiriald il est très difficile de conserver une attitude objective. (...)
Hauts d'environ deux mètres cinquante et presque aussi larges, ils n'ont en fait pas grand chose d'humain. Leur peau verdâtre et squameuse fait de nombreux plis suintants, et leurvisageest couvert de petits tentacules. Ils ne représentent pas une menace pour des humains de passage, mais se défendent si on les attaque. (...)Ce scénario a été écrit pour les Terres Balafrées et plus particulièrement pour la ville de Shelzar. Il sera néanmoins rapidement adaptable à tout autre univers. L'histoire débute à la manière d'un vaudeville dans les alentours champêtres de la cité du vice, se poursuit sur le même ton léger dans les méandres de Shelzar, et s'achève enfin sur une note plus sombre dans les profondeurs de la ville. - A Epicure, je ne te connais pas mais tu me fais bien marrer Il fait beau ce matin ...