Mimosaville
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Contient : court (4)(...) Les seringues données par le professeur McDouglas permettent de liquéfier le monstre après une seule injection. Il pousse alors des grands cris etcourtse cacher. En le suivant, les PJs ne trouveront qu'un gros tas immonde de plastique fondu et de poils émettant des gargouillis étranges. (...)
On y voit un homme courir entre des immeubles, pourchassé par un gros chien avec les yeux qui brillent. Il a le soufflecourtet est couvert de sueur. C'est alors qu'il lève les yeux et aperçoit un homme en uniforme au bout de la ruelle. Alors qu'ilcourtvers cet homme en l'interpellant (« Monsieur le shérif!! Aidez-moi!! »), on a droit à un travelling rapide qui se conclut par un plan américain du shérif. (...)
Pendant ce temps-là, dans un quartier résidentiel de Mimosaville, on découvre une vieille dame et son chien. La vieille dame se promène tranquillement, à son rythme, pendant que son chihuahuacourtun peu partout. Le chien s'arrête sur une pelouse pour faire sa petite affaire et la vieille dame s'arrête de marcher pour attendre son brave Médor. (...)L'HISTOIRE DE LA SAGA : La saga Mimosaville débute en 1953 avec Un monstre dans la ville, dans une tranquille bourgade américaine située à une centaine de kilomètres de Sodaville. Cette bourgade sans histoire se retrouve attaquée par un monstre un peu radioactif et pas très beau à voir. Lors de sa sortie, le film passe dans un premier temps inaperçu. En effet, il n'apporte pas grand-chose au genre naissant du « film-qui-fait-peur ». Pourtant, assez rapidement, la bouche-à-oreille ...