Punjar, le joyau terni
sur Les Editions sans Détour au format (2.1 Mo)
Contient : sauvagerie (2)(...) Plus un homme est puissant, plus il est cruel - une vérité bien comprise par la jeunesse de la Boucane qui rivalise desauvagerieet de perversité. Les rares qui gardent le pouvoir assez longtemps finissent rapidement par attirer à eux une nuée de sycophantes dans une parodie de cour royale, avec ses officiers dépravés, ses généraux despotiques et son fou du roi. (...)
On peut pardonner aux habitants de Punjar, sans recul, sans perspectives, environnés d'immeubles bondés et de gens de toutes races et de toutes origines, d'oublier que leur civilisation n'est qu'une chose éphémère dans la Grande Histoire des Royaumes connus. Les rois comme les érudits affirment que lasauvagerieet la barbarie sont la vraie nature des peuples soit-disant « policés » ; les elfes, les nains et les hommes sont nés du chaos et de la violence et seront certainement détruit par les mêmes flammes cruelles. (...)Bienvenue à Punjar ... Où que l'on voyage à travers tout le monde connu, nulle cité n'est plus mal famée, plus décadente ou plus mortelle que Punjar. C'est une triste collection, posée sur le sable de la côte, de taudis labyrinthiques, de ruelles enchevêtrées, de murs lépreux et d'échoppes pleines de rats. Les quartiers surpeuplés de cette cité ont produit quelques-uns des pires malfrats et des plus horribles coquins qui ont jamais régné sur les innombrables trônes du nord. Noircie par le ...