Le vieil homme qui dévorait les dieux
sur Deadcrows Studios au format (23 Mo)
Contient : midi (3)(...) De nombreuses anciennes cicatrices sur son corps attestent d'une vie de combat et d'aventure, mais l'état de ses ongles, de ses cheveux et de ses dents permet de penser que c'est un homme habitué au luxe et à la vie de palais. Il ne faudra pas longtemps pour l'identifier : en milieu d'aprèsmidiun garde du palais prétendra le reconnaître. Il s'agit de Gilains Morfestel, mercenaire escarte ayant ses entrées auprès d'Inigo Suarez de Bastavda. (...)
Car si les marins et autres soldats présents ne se démonteront pas et attaqueront cet énorme intrus, ils capituleront au bout de vingt minutes lorsque la bête aura hissé la moitié de son corps sur le pavé du port. Comment cela finit ? Versmidi, repue, la bête s'endort et ne se réveillera qu'à l'aube suivante pour manger, à moins qu'on ne vienne pour la tuer avant, auquel cas elle cherchera alors à tuer. (...)
La solution la plus simple pour les Héritiers (mais aussi la plus meurtrière car elle risque de n'avoir lieu que très tard) est de conduire Bhron Hersank ici et de lui laisser commander à la bête de mourir. Si les Héritiers ne s'en chargent pas, versmidile deuxième jour, une troupe de cent soldats escartes attaquera le monstre et le vaincra au prix de très lourdes pertes. (...)Lorsque Tiamat mourut, de son sang naquirent les Premiers djinns, et de ses larmes mêlées au sable du désert, naquit l'argile morte, une terre grise aux propriétés étonnantes. Si elle n'a pas les capacités et la résistance de l'orichalque, l'argile morte est à ce point liée à la nature même des Premiers djinns, qu'elle est d'une certaine façon devenue leur point faible. Les porte-bonheurs faits d'argile morte repoussent les afreeti comme la peste effraie les hommes. Les tablettes faites ...