Le vieil homme qui dévorait les dieux
sur Deadcrows Studios au format (23 Mo)
Contient : vivre (4)(...) Ainsi, sa seule existence menace chaque afreet et le met en garde de défier l'autorité des dieux. Pourquoi ce nom de Dévoreur de dieux ? Parce que destiné àvivremille ans, cet homme puise son immortalité dans l'essence même des 1001 dieux. En cette fin de cinquante-cinquième siècle, cependant, pour la première fois, les dieux ne vinrent pas détruire la ville et gracier les afreeti. (...)
Il lui légua aussi les parchemins enseignant l'art de faire les lampes d'argile morte. Devenu le faiseur de lampes, le maître des afreeti, le Dévoreur de dieu, il allaitvivrepour mille ans. Le vieillard lui, mourut l'instant d'après, comme délivré d'une mission qui le gardait péniblement en vie. (...)
Celui qui maîtrise les prisons d'argile (nom donné aux lampes d'argile morte) maîtrise les créatures les plus terribles qu'ait connu ce monde, les afreeti ; c'est ce qui nous intéresse lors de cette aventure. Bhron qui est ensuite parti vers la faille de Tiamat pourvivrereclus et tenter de contenir les Premiers djinns parvint à en emprisonner des dizaines avant de décider de se retirer. (...)
En cas de réussite alors qu'il embrassait Farah, l'heureux Héritier sentira l'envahir un sentiment aussi fort et émouvant que celui ressenti par la belle. Ils pourrontvivreune aventure passionnée qui durera aussi longtemps que vous la jugerez intéressante. En cas de réussite alors qu'il embrassait Hélicandre, l'heureux Héritier sentira l'envahir un sentiment aussi fort et émouvant que celui ressenti par la belle. (...)Lorsque Tiamat mourut, de son sang naquirent les Premiers djinns, et de ses larmes mêlées au sable du désert, naquit l'argile morte, une terre grise aux propriétés étonnantes. Si elle n'a pas les capacités et la résistance de l'orichalque, l'argile morte est à ce point liée à la nature même des Premiers djinns, qu'elle est d'une certaine façon devenue leur point faible. Les porte-bonheurs faits d'argile morte repoussent les afreeti comme la peste effraie les hommes. Les tablettes faites ...