Smaug sur Érébor
sur La Cour d'Obéron au format (36 Ko)
Le but du présent ouvrage n'est pas de replacer précisément (ce serait œuvre de trop de complication) l'ensemble des événements entourant la chute de Smaug sur Érébor, mais seulement de donner quelques frissons à des personnes - peu importe leur niveau - se trouvant dans les rues de Dale durant cette nuit fatidique. Ce qui suit n'est donc pas formulé afin de représenter avec toute l'exactitude possible la réalité historique de l'événement, mais est posé dans une forme donnant le plus d'occasions ...Contient : dragons (2)(...) Ce qui suit n'est donc pas formulé afin de représenter avec toute l'exactitude possible la réalité historique de l'événement, mais est posé dans une forme donnant le plus d'occasions que possible aux personnages d'être acteurs. LesDragonsfurent de tous les fléaux le deuxième plus important à frapper la Maison de Durin ; ils avaient déjà délogé de leurs pères pendant que ceux-ci exploitaient les riches Montagnes Grises, et finalement la rumeur de la richesse et la magnificence d'Erébor, la Montagne Solitaire, s'étendit de l'Est à l'Ouest, et Smaug, le plus grand des Vers Ailés de ces temps, pris son vol puissant, et de nuit atteignit la Montagne, et s'en empara... Mise en place Les personnages, afin de jouer ce volet historique, doivent remplir quelques critères : ainsi, s'ils ont précédemment joué la campagne « Dale, Monts de Fer, Erébor », ils s'en tirent à bon compte, les critères seront déjà gagnés, en majeure partie du moins. (...)
Pour une raison ou une autre (buverie épique ou veille auprès du lit d'un mourant, pourquoi pas), les personnages sont tous (ou une seule partie) éveillés, tardivement dans la nuit, alors que la rumeur éloignée du beffroi se fait entendre... La vue à laquelle les personnages auront droit en regardant par la fenêtre ou en quittant la salle est effroyable : Smaug (il est rouge, ailé et énorme, quoique n'ayant pas encore atteint sa maturité : il est réellement le plus puissant desDragonsde l'époque à laquelle nous nous trouvons) est en vol, au-dessus des tours de la ville, et sa vue n'est possible que par la lumière produite par son souffle enflammé et la luminosité que lui-même a. (...)