Quelques pétales de lys
sur La Cour d'Obéron au format (69 Ko)
«Ai ! Laurië lantar lassi surinen, Yéni unotimë ve ramar aldaron !' ('Ah ! Comme l'or tombent les feuilles dans le vent, de longues années innombrables comme les ailes des arbres !') J.R.R. Tolkien, Le Seigneur des Anneaux, II.8. '...Je fais en sorte que l'ennemi prenne mes points forts pour des points faibles, mes points faibles pour des points forts, tandis que je transforme en points faibles ses points forts et que je découvre ses failles... Je dissimule mes traces de façon à les rendre ...Contient : tête (6)(...) Sachant désormais où se trouve le Merethlin, Uruthaur Sonnefer a monté une expédition pour installer une forge sur les berges de l'étang. Il a envoyé en avant-garde un capitaine des troupes d'Angmar, Morechor, à latêted'une petite bande de cinq cavaliers lourds, avec pour mission de préparer son arrivée. Morechor est descendu jusque dans le pays de Dun pour proposer à un clan de Dunlendings de venir s'installer au pied des collines du 'Lac aux elfes' ; les Dunlendings seront chargés de faire des cultures pour nourrir Uruthaur, ses esclaves et ses gardes ; en échange, Morechor a promis à Caevillos, le chef du clan, de l'or et des armes. (...)
A l'issue de ses invocations, Uruthaur brandit le cimeterre rougeoyant d'une main, saisit de l'autre le prisonnier Nain par les cheveux, lui tire latêteen arrière et plonge à la verticale la lame incandescente dans sa gorge. Le malheureux pousse un cri affreux couvert par la clameur des troupes d'Angmar. (...)
Uruthaur arrache la lame du corps du nain, la plonge dans l'eau du torrent qui se met à fumer et à bouillonner, puis la brandit à nouveau, proclamant que l'arme portera le nom de Gurthnaug, 'Mort du nain', et qu'il s'agit d'une exterminatrice de Nains... 8) La chute d'Onarr Barbegrise : Les Nains ont latêtedure, et ils sont en outre doté d'un courage certain et d'un fort esprit clanique. Lorsqu'ils ont vu la mise à mort de leur compagnon et entendu la proclamation d'Uruthaur, leur sang n'a fait qu'un tour. (...)
Turanca réagit aussitôt en lançant ses hommes contre eux, et Balog Une-oreille s'empare de Gurthnaug puis charge à latêtedes orques galvanisés. Uruthaur hurle à ses troupes de capturer des Nains vivants. Le combat sera violent et bref. (...)
c) Tuer ou blesser les attelages des chariots : Très risqué car nécessite une attaque du coeur du campement ou de la colonne (Les piquiers interviennent directement, Turanca entête; les orques et les cavaliers de Morechor interviennent en 1d2 minutes). Chaque chariot est tiré par quatre chevaux de trait ; trois soldats orques pourront remplacer chaque cheval tué, mais cela affaiblira la force de frappe des orques et répandra le mécontentement dans leurs rangs. (...)
Lorsque la somme des morts et des blessés atteindra un tiers d'une des troupes, les guerriers de cette troupe verront leur moral s'effondrer et réclameront de battre en retraite. Ils seront repris en main par leur capitaine (quitte à couper unetêteou deux pour l'exemple), mais il suffira d'un nouveau mort au sein de leurs rangs pour provoquer des désertions en masse. (...)