Narcisse transi
sur La Cour d'Obéron au format (146 Ko)
Deux estions et n'avions qu'ung cuer S'il est mort, force est que devie, Voire, ou que je vive sans vie Comme les images, par cuer, Mort ! François Villon, extrait du Testament. Synopsis : Les PJ sont invités à un vernissage et à une "snuff party" organisée par le Prince. Tout le gratin branché de la Camarilla parisienne, mêlé à une sélection triée sur le volet d'artistes, de critiques et d'intellectuels mortels, se retrouve donc au cours de la soirée. Le Prince reste toutefois ...Contient : famille (8)(...) Les rapports des années 1805 à 1817 révèlent que Napoléon Ier et son gouvernement sont parvenus à se dégager de l'influence politique de laFamille. Les Ventrues libéraux profitent de l'Empire pour s'infiltrer dans le milieu des affaires de la bourgeoisie, et semblent mener une traque féroce contre les Brujah qui ont attaqué leurs intérêts au cours de la Révolution. (...)
Le Beau Bob et Max la Came sont deux petits artisans de la cambriole, qui travaillent en général pour les antiquaires véreux et les collectionneurs dénués de scrupules. Ils ignorent tout de laFamilleet de l'histoire dans laquelle ils viennent de se fourrer. Un de leurs employeurs occasionnels est Monsieur Jean, une des goules de Camille Pons. (...)
Les messages sont ceux que les PJ ont entendu, et Irène Donna a toujours le papier sur sa table de chevet - l'écriture est la même que celle du billet épinglé. Villon lui a aussi donné un numéro de téléphone où le joindre. La malheureuse ignore tout de laFamille- ou du moins ignorait-elle tout jusqu'à ce que les Tremeres débarquent chez elle... Terrifiée, elle a donc avoué tout ce qu'elle savait à ses agresseurs. (...)
Son père, le baron Charles-Louis de Coulanges, était un libertin notoire, athée et scandaleux, qui dispersa une bonne partie de la fortune familiale en frivolités. En tant que benjamin de lafamille, Jean-Baptiste ne pouvait espérer hériter des biens ou du titre familiaux. Les folles dépenses paternelles l'ayant privé de ressources, JeanBaptiste écarta très vite la carrière militaire - un officier royal ayant en effet à sa charge l'entretien de son régiment. (...)
Ce sont les vampires qui l'ont surnommé "Le Révérend", son grade exact étant "Le Profès". Le Révérend a mis au service de ses intrigues au sein de laFamillela subtilité acquise par son expérience au sein de la Société de Jésus. Il n'a jamais oublié non plus les raisons premières de son étreinte, lutter contre le clan Toreador, et même s'il pactise souvent avec le pouvoir, c'est toujours avec une arrière-pensée. (...)
Malheureusement, son père avait placé toute sa fortune dans le projet du Canal de Panama, et fut ruiné en 1889 par la faillite de l'entreprise. Il se suicida en laissant safamilledans le besoin. Le jeune Camille vécut une enfance marquée par la précarité, et vit sa mère mourir de la tuberculose en 1901. (...)
En cas d'accrochage, il utilise un fusil (plutôt dépassé) de sniper : un vieux M-21 (Difficulté 7, Dégâts 8, Cadence de tir 2, Chargeur 20). Chaton, de son vrai nom Louis Magny, est né à Paris en 1895 dans unefamilleouvrière particulièrement pauvre. Tyrannisé par un père alcoolique, il vécut une enfance martyre. (...)
Sa vengeance fut bizarre, cruelle et dérisoire : il se mit en devoir de retrouver les familles de tous les officiers, morts ou survivants, qui lui avaient commandé sur le front. Lorsqu'il les localisait, il tuait systématiquement tous les animaux familiers de lafamilleou des enfants, avec une délectation sadique. Tout lui était bon, avec une nette préférence pour le poison ou la strangulation. (...)