Répertoire géographique de l'Arabie : Les Royaumes
du Désertsur Le Sablier Eternel au format (690 Ko)
Contient : cours (15)(...) En effet, l'alchimie est considérée en Arabie comme un art tout à fait légal et reconnu. Cette discipline s'enseigne et chaque grande ville a son cercle d'alchimistes, dispensant descourset réalisant des expériences. Dans ce domaine, les arabes sont en avance sur le Vieux Monde. Les nécromants : A la différence des démonistes, le sombre art de la nécromancie est connue en Arabie. (...)
La seconde option (la plus courante) est de commencer à travailler de ses propres mains. La troisième option (la moins fréquente, est de passer au niveau supérieur de scolarisation : lecourspréparatoire. Cecoursdure 4 ans et est enseigné par des érudits appelés professeurs. Le jeune reçoit une formation en théologie, droit et mathématiques. Cette formation doit le préparer à entrer dans une Madrasa (sorte d'université). il n'existe descourspréparatoires que dans les villes de plus de 5 000 habitants. Sorti ducourspréparatoire à 16 ou 17 ans, le jeune érudit peut se spécialiser dans une Madrasa. Il n'existe pas plus d'une Madrasa par royaume (dans certains, il n'y en a même pas). (...)
Les courses de chevaux sont très prisées par les habitants de l'Arabie et être possesseur ou cavalier d'un cheval plusieurs fois vainqueur apporte la renommée et la richesse (surtout à son éleveur). Les courses attelées n'ont pluscoursque dans quelques rares arènes. Les courses montées sont les plus fréquentes et opposent en général une douzaine de cavaliers. (...)
Le genre poétique est également très prisé des femmes de familles aisées et des concours ont lieu régulièrement dans lescoursroyales. Etre écrivain peut être un métier dangereux si l'auteur se livre à une critique du pouvoir des Califes ou si, pire encore, il se livre à une critique de la religion. (...)
Ce bâtiment est presque aussi bien gardé que le palais du sultan. Le quartier des jeux jouxte celui des écoles : on y trouve 5 écoles et pas moins de troiscourspréparatoires (dont un réservé à la noblesse). L'immense Madrasa de Zandri domine ce quartier : Environ un millier d'étudiants y apprennent la théologie, le droit la littérature et les sciences. (...)
Les navigateurs du Vieux Monde viennent y vendre leur marchandise et un bureau de vente est à leur disposition afin qu'ils prennent connaissance des marchandises à vendre et descoursdes différents marchés. A l'arrière du port se trouve la cité de Siwa. C'est un amas de ruelles séparées par des habitations souvent peu solides, faites de bois et de torchis blanchi à la chaux. (...)
Les paysans parvenant à arracher quelques récoltes à la terre grâce à la présence d'un puits. La richesse de Kamt, c'est son littoral parsemé de petitscoursd'eau qui permettent une agriculture, certes peu productive, mais assez variée pour permettre l'existence de petits hameaux de pêcheurs. (...)
Seules quelques criques ont permis l'installation d'infrastructures portuaires. Grâce à la présence de quelquescoursd'eau, une agriculture peu productive mais suffisante pour la population a pu se mettre en place (céréales, fruits, riz. (...)
Puissance militaire, maritime et économique, le califat de Kufra a souvent suscité la jalousie de ses voisins aucoursde l'histoire. Une longue guerre l'a opposée au califat de Ghafsa pour le contrôle des 4 îles situées à quelques encablures de la côte (1915-1936). (...)
Le quartier le moins huppé, fait de constructions de briques, jouxte le port. Les quartiers riches sont parsemés de villas dotées decoursintérieures et de jardins. Le fort de Hassan domine le port (c'est une immense citadelle de pierre rouge abritant une partie de l'armée du calife, les hangars des galériens et la prison de la ville). (...)
En effet, on trouve encore le long du fleuve des ruines de digues et de barrages gigantesques qui devaient réguler lecoursd'eau qui, lors des saisons des pluies, inonde une grande partie de la région. Aujourd'hui, ces ouvrages monumentaux ont disparu et la population subit les caprices dévastateurs du fleuve rouge (on lui a donné ce nom à cause des limons qu'il transporte, et qui lui donnent une couleur ocre. (...)
Lorsque le poignard s'enfonça dans le coeur d'Ishraïm, le ciel s'assombrit et une tempête sans précédent s'abattit sur le désert. Elle dura plus d'une année aucoursde laquelle de nombreux Nomades moururent. Lorsque la tempête cessa, le peuple des nomades se scinda en 5 tribus. (...)Présentation générale de la péninsule arabique : Un territoire aride et peu accueillant L'Arabie reste aux yeux des habitants du Vieux Monde une terre étrange, pleine de mystères et de dangers. Cette terre aride est aussi connue sous le nom de Grand Désert du Sud. Et cette réputation n'est pas usurpée : ce territoire plus grand que l'Empire bénéficie d'un climat extrêmement chaud et sec en plaine. Le climat des montagnes d'Arabie n'est guère mieux : Il est aussi sec que glacial. Mais l ...