Exil, la cité
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Présentation d'une cité géante : Exil est un monstre vertical, un labyrinthe effrayant à la fois surpeuplé et paradoxalement désert dans certaines zones. La cité s'étend comme une énorme lèpre sur l'Océan oir, dressant face à lui des murs d'acier rouillé. Il y a de nombreuses façons de ressentir la cité d'Exil, et donc de la présenter. Chacune d'entre elles est forcément réductrice. Il faut d'abord garder à l'esprit qu'Exil est une cité de très grande taille, qui abrite plusieurs millions ...Contient : partagent (4)(...) Les grandes industries exiléennes appartiennent aux maisons de change exiléenne ou à de riches entrepreneurs. Ceux-ci separtagentles fabriques et se rassemblent en groupements d'intérêts et sociétés de gestion. Les Chantiers navals : Les chantiers navals d'Exil sont très étendus, et représentent une portion à part de la Cité industrielle. (...)
Et le triste morceau de papier que l'on reçoit alors semble être passé par toutes les commissions de travail qui separtagentles innombrables bureaux de la Cité administrative... » Arvil de Nessim, Mémoires : Les salles d'audience sont généralement la seule partie que le visiteur verra de la Cité administrative s'il n'est pas amené à épouser la carrière de Fonctionnaire ou d'employé de bureau. (...)
Etonnement, les bâtiments de l'institut ne donnent pas dans la magnificence d'autres instituts : on aurait pu en effet s'attendre à une démonstration tapageuse des techniques de construction du corps ingéniérique, mais il n'en est rien, la sobriété est ici de mise. Les futurs ingénieurspartagentleur temps entre les cours théoriques dispensés ici et les mises en pratique réalisées dans le dédale de la cité ingéniérique. (...)
Absence de bois oblige, le papier des journaux exiléens est tiré d'une pâte de champignons, qui laisse une trace brunâtre sur les doigts. Deux grands quotidiens separtagentle haut des kiosques d'Exil. Traditionnels, fidèles au pouvoir exiléen et fervents adeptes de la Concorde Sociale, ils ne défraient la chronique que par la guerre féroce qu'ils entretiennent depuis des lustres, à coup d'éditoriaux lapidaires. (...)