Des sous
sur Feltin au format
Alors que les PJ'S dormaient paisiblement dans une auberge de Bree, une ombre vint dans leurs chambres et leur vola leurs bourses. Donc les PJ'S n'avaient plus un seul sou en poche. Et comble de désespoir il n'y avait aucun indice pouvant révéler l'origine de cet ombre. Est ce que c'était un humain, un orque, un nain ? Aucun indice. LA PLACE Le lendemain matin, sur la place de la ville, un humain de forte carrure habillé d'une armure de plaque totale et avec une cicatrice sur l'œil gauche et ...Contient : col (5)(...) " Faim, manger, marre racines, veux hobbits ou elfe, bon hobbit, beaucoup à manger dedans " A ce moment derrière les PJ'S trois trolls les attrapent par lecolet les soulèvent puis ils les endorment en leurs soufflant dessus. Quand ils se réveillent ils se retrouvent attaché à une stalagmite qui se trouve dans une cavité d'une caverne. (...)
" LES MONTS BRUMEUX 1er jour Les PJ'S partent d'un petit chemin derrière la maison de Fondcombe, ce petit chemin de terre et pourtant rocailleux monte en lacet vers lecolqui est derrière la maison. Environ deux heures plus tard, les PJ'S arrivent aucolet comprennent le nom attribué à cette chaîne, devant eux les sommets sont embrumés et la vallée est dans le brouillard le plus complet, les PJ'S ne voient seulement le petit chemin qui redescend dans la vallée. Après avoir passé le reste de la journée dans la vallée, la nuit commence à se coucher. (...)
2ème jour Le reste de la traversée se passe tranquillement et en fin de journée les PJ'S voient le chemin qui remonte vers uncol. 3ème jour Une fois en haut ducolles PJ'S voient encore une seconde vallée mais qui se finit par un fleuve à ce moment Cerdan " C'est cette rivière que nous devrons prendre pour rejoindre la forêt des oreilles pointues par contre nous avons eu de la chance de ne tomber sur aucun orque ou autres goblinoïdes ! " Et une voix derrière les PJ'S, une voix puissante et rocailleuse mais avec un son qui fait penser de suite que celui qui parle n'a pas grand chose dans la caboche : " Vous être sur ? (...)