Le Tombeau des Anges
sur Club Table Ronde au format (180 Ko)
Contient : père (10)(...) Pour qu'ils ne gênent pas les déménageurs et la famille, les trois jeunes enfants Maria, six ans, Bennet, huit ans, et Denis, dix ans, sont envoyé dormir la nuit du samedi au dimanche chez le grandpèrequi les amènera dimanche à la nouvelle maison. Ainsi préparée, la famille Grething déménage sans problème insurmontable. (...)
Il y a encore des cartons partout mais les meubles sont en place et le reste n'est qu'histoire de finitions. Les enfants et le grandpèrerejoignent le reste de la famille vers 18h00. juste le temps d'offrir un petit apéritifs aux courageux qui ont participer au déménagement, de retrouver dans les cartons le nécessaire pour la soirée, et très vite la petite famille se retrouve dans leur nouvelle cuisine pour le premier dîner dans la nouvelle maison. (...)
Exténués par le week-end, les parents ont un peu de mal à supporter le chahut des trois enfants tout excités. A la fin du repas lepèrehausse un peu le ton. Il est temps que les enfants aillent dormir ! Tout le monde au lit. Dora, la maman, les accompagne dans leurs nouvelles chambres vers 22h00. (...)
Sa femme, Ellie, était morte en donnant la vie à Clara. Ce décès pesait déjà lourdement sur les jour d'Harold. Il était unpèrecorrect, mais sans plus... Puis l'horreur eut lieu un soir. Suite à un simple jeu qui tourna mal, les deux enfants se chahutèrent dans la chambre de la petite fille. (...)
Sa peine se transforma en haine contre son Ainsi bascula la vie de John qui du jour au lendemain devint le paria de sonpère. Jamais plus l'enfant ne quitta la chambre de la petite fille. Il passa les trois jours suivant le drame en seule compagnie du cadavre. C'est seulement lorsque l'odeur du cadavre devint insupportable que lepèrevint le chercher et s'en débarrassa en l'enterrant dans le jardin. Ce fût la dernière fois que John vit sonpère. Il essaya de le supplier de lui pardonner, mais l'adulte n'avait plus assez de raison pour s'émouvoir, ni ce soir là, ni pendant les autres trop courtes journées, ou la folie s'empara de John, seul dans cette petite chambre, sans eau ni nourriture. (...)
La petite fille est morte quasiment à l'instant ou sa tête à heurter le coin de sa table de chevet. Elle est morte sans s'en rendre compte. L'esprit ne comprend donc pas pourquoi sonpèrel'a emmener au fond du jardin si près de la forêt qui lui fait tant peur. Elle croit être punie. (...)
Jamais l'esprit n'osera quitter le couloir et les chambres qui s'y trouve. John à bien trop peur de sonpère. En soit, il considère les enfants Grething comme des frères et soeurs, sans trop bien comprendre que cela n'est pas possible. (...)
Il va aussi s'assurer qu'aucun volet ne pourra être ouvert. Le raisonnement de l'esprit fou est simplement de reproduire ce que sonpèrelui à fait : laisser mourir Denis ici, de faim et de soif, mais en plus il va exprimer sa colère ce qui les rends les choses encore plus dangereuse ! (...)Dans ce petit scénario, une famille venant d'emménager dans une maison rénovée va se retrouver littéralement à la porte de l'enfer. Après une fin de déménagement pénible, et alors que la petite famille n'aspire qu'à un repos bien mérité, les cris des enfants partis se coucher dans leurs nouvelles chambres vont alerter les parents. Essayant de les rejoindre, ils auront toute les peines du monde à ouvrir la porte du couloir qui mène aux chambres des enfants. Pour y arriver, ils devront ...