Bayonne sous les Cendres
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Contient : commerçants (6)(...) Si Toribio ne souhaitait pas voir de civiles dans cette partie de la ville, il à fini par se laisser corrompre par la réussite de son entreprise. En effet, lescommerçantset les nobles de la ville aiment à ce sentir dans leur petites enclaves personnelles et Toribio dût faire des concessions pour garder certains éléments de valeurs dans sa citée. (...)
Personnalités: Voici quelques personnalités que l'on peut croiser dans les rues de Bayonne. Erika Aldarik : Cette fille decommerçantssuédois est née dans le Petit Bayonne. Ses parents tiennent un sauna à la rue Pannecau qui fait des émules dans tout le quartier. (...)
Ici, pas d'eau courante et rarement quelques dynamos ou générateurs apportent de l'électricités à descommerçantsne pouvant pas se passer de cette modernité. Les plus grands axes (Allées Bouflers ; Quai Galuperie et la Place Paul Bert) disposent de lampadaires électriques ou à gaz, mais le reste n'est éclairé que par des lampadaires à pétrole, ou carrément pas, transformant les petites ruelles en coupe-gorge une fois la nuit venue. (...)
Vous l'avez compris, si ce marché est conséquent et vivant, les marchandises que l'on trouve ici ne sont pas toujours de première qualité. Pour finir, la présence de la caserne juste à côté rassure lescommerçantsitinérants qui se sentiraient bien moins en sécurité dans les ruelles du quartier. A l'opposé de la Caserne, se trouve l'église Saint-André de Ravenna qui donne son nom à la place. (...)
Ici, l'organisation de vie est très semblable à celle d'avant si ce n'est que la population y est bien plus réduite et qu'il arrive qu'un immeuble appartienne à une seule personne. On trouve aux pieds des immeubles quelquescommerçants, hôtels ou restaurants appartenant exclusivement au gens du quartier. Les Gudaris patrouillent régulièrement dans ces rues pour assurer la tranquillité des lieux, surtout dans les rues basses du quartier, les halles et les quais longeant le Petit Bayonne. (...)
Mais entretenir toutes cette infrastructure à un prix et les soins sont loin d'être donnés. On retrouve donc beaucoup decommerçants, de riches patients, ou des Gudaris dans les chambres de l'établissement. Pour les autres, il y a toujours l'hospice de Maïtéa... * Port de Blanc Pignon qui est actuellement à l'état de chantier. (...)Un peu d'histoire : Comme nous le savons, au Pays Basque comme ailleurs, les grandes villes côtières furent rasées par le tsunami qui suivi la catastrophe. Bayonne ne fît pas exception à cette règle, et le nombre de mort fût considérable dans la citée, et dans tout le district. Longtemps, la ville resta à l'état de ruines malodorantes, à demi ensevelie dans la vase et à nouveau entourée de marais sombres et dangereux à pratiquer. Plus personne n'y vivait hormis quelques reclus ou criminels ...