La prophétie du Phénix
sur La Lune Rousse au format (199 Ko)
Contient : lumière (3)La prophétie du Phénix Phénix est venu à moi et dans ses griffes il m'a emporté. Si vite et si haut que ni temps nilumièrene pouvait le contraindre. Il m'a dit : 'Retourne toi, fils de Gaïa, et contemple la' J'ai vu les hommes grouiller sur notre mère, se marchant les uns sur les autres pour espérer mieux respirer, arrachant à la terre desséchée les larmes et le sang de Gaïa, pour les répandre dans ses eaux J'ai l'ai vu se convulser sous la douleur, l'air creuser l'eau, l'eau ronger la terre, la terre frissonner et vomir le feu J'ai vu le Feu du Ver naître et se multiplier, brûlant tout ce qu'il touche et corrompre la vie même Je ne voulais plus regarder, j'ai caché mes yeux et dit à Phénix : 'Qui suis-je pour que tu me montres cela ? (...)
Au Dixième Signe, ces étoiles atteignent la taille visuelle de la lune et apparaissent même de jour. Observées attentivement, elles révèlent non pas uniquement de lalumièrecramoisie, mais une forme de masse de chair non fermée, non euclidienne et absolument terrifiante. (...)
Hoga et Furmas la recouvre entièrement, la plongeant dans un manteau de ténèbres permanentes. Les puissants Célestes Hélios et Luna, alliés des garous contre le Ver, n'apportent plus leurlumièreà Gaïa et à ses serviteurs. La nuit la plus longue que Gaïa ait jamais connu commence. La rage s'épuise et ne se renouvelle plus. (...)Phénix est venu à moi et dans ses griffes il m'a emporté. Si vite et si haut que ni temps ni lumière ne pouvait le contraindre. Il m'a dit : 'Retourne toi, fils de Gaïa, et contemple la' J'ai vu les hommes grouiller sur notre mère, se marchant les uns sur les autres pour espérer mieux respirer, arrachant à la terre desséchée les larmes et le sang de Gaïa, pour les répandre dans ses eaux J'ai l'ai vu se convulser sous la douleur, l'air creuser l'eau, l'eau ronger la terre, la terre ...