Flesh
sur Les Alchimistes au format (1.9 Mo)
Mise en garde : Par les sujets qu'il traite et les personnages qu'il met en scène, ce scénario est à même de choquer certaines personnes. Ceux pour qui les questions de traffic d'organes, de pédophilie ou de snuffmovies constituent une limite à la fiction sont invités à ne pas pousser la lecture plus loin. Le maître du jeu qui décidera de mettre en scène ce scénario devra prendre en compte la sensibilité de ses joueurs, d'autant que les personnages qu'ils incarneront ne sont pas eux-mêmes exempts ...Contient : dieu (4)(...) Alors qu'il n'était plus qu'à un bloc de l'école, une jeune maman ayant amené sa progéniture libéra une place de parking pour le monstre rose. Steven Lee sourit, «Sûrement qu'il y a un putain dedieupour les enculés». Cela lui rappela le cirque de la semaine dernière : Un connard de flic l'avait serré dans la cour d'une putain d'école. (...)
Certaines commençaient à avoir des seins, mais malgré tous leurs efforts pour essayer de la masquer elles gardaient cette part d'innocence qui excitait tant «tonton» Steven Lee. A bien y repenser, il devait forcément y avoir undieupour les putains d'enculés. Que ce soit tombé sur lui, Steven Lee, franchement ! Cette nuit il avait pris le pied de sa chienne de vie, il avait fait le tri, il avait décidé qui vivrait et qui il reverrait bientôt sur son magnétoscope. (...)
Faut il que quelqu'un meurt pour qu'on prenne conscience ? En tout cas je ne me souviens de rien avant cette date. Et je ne crois pas endieu. N'empêche, je fais du bon boulot, personne d'autre que moi à la brigade et certainement même dans cette saleté de ville n'apprend par coeur le nom et les visages des enfants disparus et des délinquants sexuels tous les premiers lundis du mois. (...)
Bob Sommers : Mon nom est Bob Sommers, mais tout le monde m'appelle Bobby. J'ai la quarantaine rondouillarde et dégarnie, le teint rose, une femme et un gosse. Je crois endieuet je vais à l'église le dimanche, j'aime mon pays, je suis un bon père de famille, je suis un parfait Américain et je ne suis pas pédé. (...)