L'auberge du pas du boeuf
sur Editions John Doe au format (12.6 Mo)
Contient : prince (6)(...) Comme il faut une journée pour monter le col et une journée pour le redescendre, l'auberge est la halte rêvée pour les voyageurs et les marchands. Mais ce n'est pas sa seul raison d'exister ! Jadis, leprincedes hommes dû s'en venir de son palais pour mener la guerre contre les gobelins de la région. Ne pouvant vaincre de face - les gobelins ne vous regardent jamais en face - leprincesavait qu'il ne pouvait gagner. Il ne pouvait se résoudre à perdre non plus. Il força donc le pat et finit par faire la paix avec son puissant voisin, le roi des gobelins sous les montagnes. (...)
La route passe au milieu de l'auberge, par une ouverture toujours dégagée - et les gobelins y passent souvent pour aller d'un côté à l'autre de leur comté. Gare à celui qui sort à ce moment-là, il n'est plus alors sous la protection duprince! Quatre lieux de l'auberge : Les cuisines : Ne confiez jamais les cuisines d'une auberge à un nain. (...)
Il a quelques succès là-bas et gagne bien sa vie. Ses voyages cachent deux choses : D'une part, Sarcanal est un agent duPrincedes hommes. Les raisons de sa ponctualité - en dehors du fait que des huîtres fraîches, c'est meilleur que des huîtres pas fraîches - est qu'il vient interroger une petite gargouille bien dissimulée sur le passage de la route et que celle-ci lui énumère alors la description de tous les visiteurs des semaines écoulées et aussi du contenu des cargaisons transportées, même la nuit. Les intendants duPrincedes hommes peuvent alors évaluer le commerce et sa police repérer brigands et contrebandiers. (...)
Elle protège les caravanes et les voyageurs ; attrape quelques brigands pour les primes ; monte la garde sur les entrepôts et donne des cours aux marchands qui veulent apprendre à manier une épée. Gildas est aussi et surtout une concubine duPrincedes hommes, son premier agent dans la région. Elle aussi cherche le trésor, bien sûr, mais tranquillement, sans vraiment avoir l'air d'y toucher. (...)Moi, dans le temps, §à l'époque où il y avait encore des vrais journaux pour rôlistes, ce que j'aimais le plus, c'était les articles comme ‘Devine qui vient dîner' ou ‘le Gwô et Millord' dans Casus Belli, ou les super encarts dans Chronique d'Outre-monde. Quel plaisir, chaque mois, d'avoir des bouts d'univers, des morceaux de fragments d'imaginaire, des parcelles d'invention ! Alors voilà, maintenant, à une moindre échelle, voici les ‘linceuls de poche': des petits trucs variés et variables ...