L'Epopée de Thror (7) : La Forge de Thimbur
sur Arnheim
Contient : tribus...Tarkang possédera la puissance qui avait failli faire sombrer le monde dans le Chaos. Il a envoyé lestribusOrques qu'il a soumises grâce à Umfir son dragon, et s'il retrouve la couronne ses pouvoirs... [Détails]Trois jours s'étaient écoulés depuis que Thror et ses amis avaient quitté la Taverne des trois Trolls ; leur voyage avait été pénible et le brouillard avait considérablement freiné leur progression, réduisant la vue à quelques pas seulement, mais tous cependant gardaient le moral car ils savaient que la fin de leur périple approchait : Karak Grong n'était plus en effet qu'à quelques heures de marche. La proximité du but inquiétait un peu Thror, car il ne savait pas encore comment ils allaient procéder ...
L'Epopée de Thror (3) : Le Pas des gobelins
sur Arnheim
Contient : tribus...il avait entendu parler de ces régions et d'après ce qu'on lui avait raconté elles étaient peuplées detribusde Gobelins qui faisaient du commerce avec les Orques des montagnes et qui n'attendaient qu... [Détails]Pendant huit jours, Thror et Ganyal avaient fait route ensemble vers le sud ; ils n'avaient rencontré personne sur leur chemin, pas même un animal, et les provisions commençaient à s'épuiser quand un soir Ganyal qui s'était éloigné pour aller chercher du bois pour le feu revint tout joyeux vers son ami. - 'J'ai aperçu du haut de cette colline une rivière que je connais bien, et qui mène à Barak Varr. Je sais où nous nous trouvons à présent : nous sommes aux portes des Terres Arides, entre ...
L'Epopée de Thror (2) : Le Serment du Tueur
sur Arnheim
Contient : tribus...forteresse natale et avait pris le chemin du Sud, celui qui menait vers les contrées désolées où vivaient lestribusd'Orques et de Gobelins. Il devait à présent affronter tous les êtres maléfiques qu... [Détails]Le vent glacé qui soufflait sur les collines désertiques traversait facilement le léger manteau de lin de Thror, et rendait sa marche encore plus pénible. Il décida de s'arrêter au bord du sentier contre le tronc d'un vieil arbre mort, à l'abri de la morsure du froid. Depuis son départ de Karaz Lok trois jours auparavant il n'avait fait que cinq pauses très courtes et n'avait pas dormi. Il suivait volontairement ce sentier désert qui menait vers des contrées désolées afin de s'éloigner des routes ...