Adûnaïque ou Númenoréen - Le langage vernaculaire de
Númenorsur Ambar Eldaron au format (214 Ko)
aussi écrit: Adûnaic (ainsi dans le rapport de Lowdham, notre source principale concernant ce langage, mais Adûnaic dans les appendices de SdA). aussi appelé: Númenoréen. HISTOIRE INTERNE : Quand les Hommes s'éveillèrent en Hildórien au premier lever du Soleil, ils commencèrent à inventer un langage, juste comme les Elfes l'avaient fait à Cuiviénen, des millénaires auparavant. Mais comme nous le savons, les Hommes ne furent jamais aussi créatifs que les Premiers-Nés: 'Le désir pour les mots ...Contient : interprétation (2)(...) Alors que presque tous les éléments pronominaux connus de l'Adûnaïque peuvent être comparés aux éléments Elfiques de même signification, il n'y a pas d'éléments Quendiens de la première personne, même lointainement similaire à -hê. Ce fait peut supporter la dernièreinterprétationde ce suffixe. En enlevant les préfixes pronominaux et le marqueur pluriel -m quand c'est nécessaire, nous arrivons aux formes basiques suivantes: Traduits par le présent: nâkhi 'est à portée de main, *vient' (base NAKH 'venir, approcher'), kalubi 'tombe' (base évidemment KALAB 'tomber'). (...)
Traduits par des constructions du passé ou passé continu : nakkha 'vint' (base NAKH 'venir approcher'), dubda 'tomba' (base *DUBUD), rahta 'brisa' (*RAHAT), kallaba 'tomba' (KALAB), yadda 'alla' (*YAD), azaggara 'était en train de faire la guerre' (censé être une verbe dérivé, la forme basique étant donnée comme azgârâ- dans SD:439). Subjonctif probable: du-phursâ 'que jaillisse ainsi' (*PHURUS). Impératif: tabda ou tabdahê. Uneinterprétationplutôt expérimentale: La forme du 'présent continu' de bases biconsonantiques est formé par fortification-A de la voyelle radicale (tournant de a, i, u en â, ê, ô) et la terminaison -i. (...)