Le roman des Minotaures
sur L' Etincelle au format (216 Ko)
Excellences, veuillez trouver ici joint un manuscrit trouve récemment dans la cave d'une auberge, ainsi que le rapport du mage à qui il a ete communiqué. Je ne saurai trop m'avancer, mais si cette lettre est véridique, nous nous trouvons en possession d'informations mettant a la lumière (sans jeu de mots de mauvais gout) les origines mythique d'un des peuples saisonnins les moins connus. Bien entendu la prudence s'impose car la véracité de ce texte ne saurait être établie avec une absolue ...Contient : femmes (5)(...) Nous partirons dans six jours, une fois que nous nous seront apprêtés, avec des provisions, des armes et lorsque les troupeaux auront été divisés entre Ceux qui Restent. La séparation est difficile, mais au moins toutes lesfemmesviennent avec nous. Je pense que la puissance de leurs Couleurs sera nécessaire. Nous sommes les minotaures. (...)
Dans cette position nous pouvions nous déplacer à vitesse réduite tout en assurant une défense maximale. Et ce ne fut pas inutile. Alors que je m'approchais du centre du sabot, là ou lesfemmesétaient protégées, je vis d'ou avait jailli le cri. Une des femelles avait mis bas, mais le petit était différent de nos enfants normaux. (...)
Et peu à peu les fillaments pendant de certaines des ouvertures se tintèrent de rouge. Nous ne pouvions les laisser à ce sort, mais nous ne pouvions pas non plus risquer la vie desfemmeset des futurs enfants. Aussi en fut il décidé ainsi: certains guerriers, deux cent (je regrette de ne pas en avoir eu plus à envoyer, mais nos nombres sont désormais tellement restreints) allaient entrer dans les tunnels et tenter de libérer le plupart des notre emprisonnés. (...)
Dans cette position nous pouvions nous déplacer à vitesse réduite tout en assurant une défense maximale. Et ce ne fut pas inutile. Alors que je m'approchais du centre du sabot, là ou lesfemmesétaient protégées, je vis d'ou avait jailli le cri. Une des femelles avait mis bas, mais le petit était différent de nos enfants normaux. (...)
Et peu à peu les fillaments pendant de certaines des ouvertures se tintèrent de rouge. Nous ne pouvions les laisser à ce sort, mais nous ne pouvions pas non plus risquer la vie desfemmeset des futurs enfants. Aussi en fut il décidé ainsi: certains guerriers, deux cent (je regrette de ne pas en avoir eu plus à envoyer, mais nos nombres sont désormais tellement restreints) allaient entrer dans les tunnels et tenter de libérer le plupart des notre emprisonnés. (...)