Le roman des Minotaures
sur L' Etincelle au format (216 Ko)
Excellences, veuillez trouver ici joint un manuscrit trouve récemment dans la cave d'une auberge, ainsi que le rapport du mage à qui il a ete communiqué. Je ne saurai trop m'avancer, mais si cette lettre est véridique, nous nous trouvons en possession d'informations mettant a la lumière (sans jeu de mots de mauvais gout) les origines mythique d'un des peuples saisonnins les moins connus. Bien entendu la prudence s'impose car la véracité de ce texte ne saurait être établie avec une absolue ...Contient : toile (5)(...) J'ai parlé à Nethelias à mon réveil, et ce qu'il m'a dit m'a permi de mieux comprendre le lieu ou nous sommes ainsi que l'enjeu de notre quête. Lorsque les quatre muses ont créé notre monde, elles ont chacune tissé unetoileautour de la substance donnée par Nuence, les couleurs. En ce temps, les couleurs n'étaient pas comme maintenant, ni jour ni nuit n'existaient et les couleurs étaient unies. (...)
Ici la force servant aux muses pour retenir les choses au sol était différente, et les prophètes couvraient les murs, le sl et le plafond, Ils étaient au moins trois cent, et ils chantaient. Au centre de la pièce se trouvait une armature de cables creux, comme une gigantersquetoiled'araignée faite de fils tubulaires transparents, et, lié au centre de la pièce, une lueur. Oh, je connais ces êtres impossible de se tromper, ce sont les servants et enfants de Diurne, le Père des Couleurs. (...)
Cette lueur là était prisonnière d'un globe de vitrail coloré des teintes de la nuit, et son corps gracile semblait marqué par le désespoir. A un moment, le chant s'intensifia, et les Prophètes plongèrent les tubes de verre de latoiledans le globe par des ouvertures spécialement pratiquées dans la paroi de celui ci. Les tubes percèrent les chairs de la lueur en plusieurs endroits, et le sang de celle ci vint à iriguer latoile, faisant de celle ci un chef d'oeuvre de lumière pendant quelques minutes, puis l'éclat de latoilecommenca à diminuer, et les prophètes eurent tot fait de retirer leurs appendices de son corps, la laissant glisser a même le sol de sa prison de verre, ne luisant plus que faiblement. L'humeur gazeuse de la lueur fut collectée dans des outres spécialement concues, et emmenées. Pas la peine de se demander pourquoi. (...)