Pour le Septième de tes Fils : première partie de la
Campagnesur Chez Demehet au format (87 Ko)
C'est il y a bien longtemps maintenant que je quittais mon village de Bondost pour partir sur les traces d'Auric, un de mes amis, mais aussi sur celles de mon frère, Ganalaan, mystérieusement disparu lorsque j'avais 12 ans. C'était en 1623 S. T.(Solara Tempora), à l'époque où la constellation du Dragon s'était éteinte du ciel de Glorantha, notre planète, phénomène que ni les sages ni les magiciens ne savaient expliquer... Les premiers temps de mes errances restent flous dans mon esprit et je ne ...Contient : vieux (5)(...) De Phenric à Erian ; les premiers temps du groupe « Demulouze » Phenric le vampire : Je tiens à signaler, moi qui quelques mois auparavant n'avais jamais quitté ma région natale, que les créatures étranges, monstrueuses et néfastes dont parlaient lesvieuxdu village existent bel et bien. Nous en avons combattu certaines : des Broos au sang corrosif, des chats sauvages, un Troll* et des Trollinets, des Dragonewts déjà évoqués plus haut, mais aussi un fantôme et. (...)
Prenant Erian dans ses bras et laissant là nos cadavres, Scott s'approche. La luminosité semble provenir d'une clairière dans laquelle se dresse unvieuxmuret à moitié éboulé. Au pied du mur repose un sarcophage géant. Sur le gisant sont sculptés une créature ailée, (une Wyrme), et un chevalier. (...)
Nous décidâmes de longer la crevasse à la recherche d'un éventuel pont ou du moins d'un endroit, où moins large, le gouffre aurait été traversable à l'aide de nos cordes. Orlanth guida nos pas vers l'est et nous découvrîmes rapidement unvieuxpont qui surplombait le puits sans fond et qui aboutissait sur une petite plate-forme taillée à même la roche. (...)
* Au matin, nous avions convenu de la conduite à tenir pour entrer dans Boldhome : Nous utiliserions levieuxpassage secret par lequel je m'étais autrefois enfui en compagnie de Kyrian et Galaor. Cependant, nous décidâmes d'envoyer Ashra en éclaireuse afin de nous assurer de la fiabilité de cette décision. (...)
Le sage Orlanthi écouta d'une oreille le récit que nous lui fîmes de notre excursion dans le Temple, puis se saisissant du Liber Draconis que nous lui remettions, il le réduisit en cendres devant nos yeux éberlués ! Quoi donc ? ! Etait-ce pour voir cevieuxfou brûler ce bouquin que nous avions risqué nos vies sous Boldhome et dans le Temple et que nos trois compagnons étaient morts ? (...)