Sant Andrea : Les PNJs
sur CDS Editions au format (6.4 Mo)
Contient : ordre (7)(...) Il ne pouvait aimer sans renier ses voeux de Pauvre Chevalier. Le sachant, il demanda a être admis dans une maison de l'Ordreloin de ses terres natales. Il partit donc en frontière de l'Ussura. Mais l'amour n'a pas de frontière et elle le suivit malgré lui. Il tenta de la repousser mais Sainte Maria avait déjà fait son oeuvre. SonOrdrel'apprit : il dut choisir entre la Rose et la Croix et la femme de sa vie. N'écoutant que son. (...)
Cela fait six mois qu'elle est là, et un grand malheur vient à nouveau de s'abattre sur sa destinée : elle est amoureuse de Antonio Nuñez Firenzi, un chevalier de l'Ordrede la Rose et la Croix. Lui pour l'instant ne le sait pas, mais l'ordrede Santa Maria lui a confié la mission de soutenir les Chevaliers de la Rose et la Croix dans leur tâche quand ils sauvaient quelqu'un. Citation : Vous n'êtes pas le premier à me parler de mes yeux monsieur mais mon coeur est déjà pris. (...)
Pour avoir une certaine influence dessus, il offrit la direction de la maison à Serafina. Celle-ci est maintenant son obligée. Dans un autreordred'idée ou, comme le dit Serafina « dans la chaîne alimentaire politique », elle s'est arrangée pour garder un oeil sur l'architecte de sa maisonnée en lui offrant une courtisane. (...)
Grand ami du frère du Roy, il partaient souvent avec leur autres camarades militaires dans de grandes soirées sans fin où coule le vin et où les femmes préfèrent les genoux des hommes à leur discussion politique. Le Roy le rappela à l'ordreune fois. Mais l'image de la famille royale avait du mal à passer avant les délices féminins et les grandes fiestas au clair de lune. (...)
Agé d'une trentaine d'années, le duc Tibère Adrien Louis de Valois de Montaigne a toujours vécu dans le luxe de la cour de Charousse, ne manquant jamais de rien, n'ayant à se soucier que de ce qu'il allait porter pour assister au lever de son cousin le roi, puis au déjeuner, puis l'après-midi et enfin pour la soirée... Joueur, extravagant, piqueassiette et dépravé, passant ses nuits à boire en compagnie d'amis de cour et à mettre dans son lit tout ce qui lui paraissait digne d'intérêt - tous sexes confondus - Tibère, donc, était un libertin de haut vol, un dévoyé frondeur, égoïste et charmeur qui, contrairement à son cousin Léon Alexandre, avait la décence, une fois lassé de ses juvéniles et éphémères conquêtes, de ne pas les renvoyer sans argent et sans avenir... Il vécut donc dans son cocon de satin et de soie, ignorant du monde, se battant à l'occasion, plus par jeu et pour humilier un fâcheux, que par réelle passion, jusqu'à la venue de l'Inquisition - là, il se découvrit un nouveau penchant... Pour les nonnes. Il eut même une histoire célèbre qui défraya la chronique en son temps avec une timide soeur de l'ordrede Santa Francesca égarée on ne sait pourquoi en Montaigne... Puis ce fut la Révolution. Et sa vie de plaisir bascula dans l'horreur. (...)Comme d'habitude en vodacce, la réputation des PNJS est donnée en valeur absolue. LA FAMILLE DES ANCIENS GOUVERNEURS : GONZAGUA DELLA LUCANI. Durant trois générations, la famille à la direction de la ville fut la lignée Gonzagua della Lucani. Anoblis par la famille Lucani quand elle prit le pouvoir dans cette région, les Gonzagua étaient des marchands experts en tissage de broderie et de tissus fins. Ce qui fit la richesse de cette famille fut surtout le tissage de fils d'or pour la famille ...