La morsure du nord
sur Le Ludiste
Les sabots des montures soulevaient la neige sur leur passage, signalant l'arrivée imminente d'une troupe importante, les sentinelles embusquées les avaient repérés depuis longtemps déjà et la peur au ventre, elles s'interrogeaient. - On n'aurait peut-être pas dû attaquer le village, sergent ? - Soldat, vous savez bien qu'on ne discute pas les ordres ! Vous avez de passez votre vie derrière un bureau à vérifier des formulaires à longueur de journée ! - Non, sergent, non... Dans la tête ...Contient : hommes (9)(...) Mais les ordres sont des ordres... ------------------------------------------------------------------------------- En fouillant leur village, Wilhelm et seshommestrouvèrent les restes d'armes et d'armures de métal, ainsi que de nombreux carreaux d'arbalètes. (...)
------------------------------------------------------------------------------- Ne voyant pas revenir ses pisteurs, Wilhelm alerta seshommes, qui ralentirent leur chevauchée... Voyant des traces laissées par ses éclaireurs et comprenant alors qu'ils approchaient de la position des Vorozions, Wilhelm, en bon tacticien, sépara sa troupe en quatre unités de petite taille. (...)
Mais les Piorads étaient chez eux et en colère, et çà, aucun équipement ne pourrait l'égaler... ------------------------------------------------------------------------------- Le fort était en vue. Wilhelm apercevait déjà leshommesderrière les créneaux, qui attendaient nerveusement sa venue. 'Nous allons leur offrir le pire spectacle auquel ils n'aient jamais assisté ! (...)
Pour leurs familles... ------------------------------------------------------------------------------- - Ils sont de retour ! Voilà noshommes! Chef, les arbalétriers sont reve... La sentinelle s'arrêta bouche bée : l'embuscade avaient échoué, les Piorads marchaient droit sur le fort. (...)
Déjà, le claquement des arbalètes retentissait, l'assaut final semblait proche. Alexandre réunit une dizaine de seshommeset leur ordonna de rassembler le maximum d'objets lourds et encombrants : il avait l'intention, au cas où les Piorads forceraient la le portail, de ralentir leur progression en déversant le tas d'objets sur les premiers arrivants. (...)
Les autres durent escalader les débris et les soldats Vorozions purent ainsi se préparer correctement à leur assaut. Alexandre dirigeait seshommesdu haut des remparts, alors que le chef de guerre piorad hurlait ses ordres au coeur de la mêlée, broyant crânes et os au passage. (...)
Quand au dernier, le plus proche d'Alexandre, ils comprenaient cinq Piorads, en train de massacrer le reste d'élite du fort, réduite à cet instant à quatre vétérans. Ne faisant ni une ni deux, l'AEnestor se précipita à l'aide de seshommes. Se présentant dans le dos d'un Piorad, il lui trancha la gorge tout en se servant du cadavre comme bouclier. (...)
La réaction n'était pas celle escomptée : le Piorad aurait du faire cesser les combat et l'affronter seul. Maintenant, en plus de risquer la vie de son porteur, Sthylfist risquait également celle deshommesqu'elle venait d'essayer de sauver. Dans un dernière charge, l'ensemble des combattants chargèrent. (...)
Les Piorads certains de leur victoire contre les soldats Vorozions, rendant ainsi hommage au courage de leur leader. Le choc fut terrible. Deshommestombèrent au sol, coupés en deux, d'autres furent projetés par l'impact. Sthylfist permit à son porteur d'esquiver une première attaque puis elle trancha une jambe, pompant encore plus d'énergie vitale. (...)