La milice à nos trousses ! Nous voilà dans un joli
pétrinsur Les Portes de Salem au format (30 Ko)
Visite impromptue du préfet de nuit : La nuit passant, au lendemain matin, nous sommes attablés, Gotrek, Arsène et moi à la Danseuse rouge. Le fameux préfet de nuit surgit de nulle part et vient frapper du poing sur notre table. Il exige qu'on s'occupe de ses affaires immédiatement. Tarik reste impassible face à la menace. La scène est observée par un homme assis à une autre table, occupé de manger. Celui-ci tentera d'écouter discrètement à notre table mais manquera presque de s'affaler sur ...Contient : préfet (6)La milice à nos trousses ! Nous voilà dans un joli pétrin Visite impromptue dupréfetde nuit : La nuit passant, au lendemain matin, nous sommes attablés, Gotrek, Arsène et moi à la Danseuse rouge. Le fameuxpréfetde nuit surgit de nulle part et vient frapper du poing sur notre table. Il exige qu'on s'occupe de ses affaires immédiatement. (...)
Arsène de son oreille de chat, entend le pas des hommes armés prendre place autour de l'auberge. Il prétexte une « soudaine » envie de pisser mais notre «préfetde nuit » s'intrigue sur cette soudaine envie pressante. J'entends à ce moment des pas d'hommes en armes et prie pour que cet Hubert de la Gravière fasse irruption, comme à son habitude pour confondre cet imposteur, soi-disantpréfetde nuit qui nous fait chanter et pense nous tenir à sa botte. Irruption de la milice : L'homme qui essayait de nous espionner maladroitement tout à l'heure jette un bol de soupe vers l'entrée et le premier milicien qui pénètre dans l'auberge s'affale de tout son long. (...)
Nous aurions été vendus par un ex-compagnon qui nous avait aidé à s'infiltrer à bord du navire et occire le capitaine. Hubert de la Gravière interroge lepréfetde nuit. Tarik ne se gène pas pour dire que l'homme se prétend être «préfetde nuit ». L'homme rétorque qu'il se nomme Roger et que c'est un « oiseau de nuit ». Mais il nous regarde et nous fait comprendre qu'il va créer une diversion pour s'échapper et qu'il nous demande d'être avec lui. (...)