Quatre Légendes
sur Qin - la légende au format (728 Ko)
Contient : yeux (18)(...) Elle relève alors son visage vers celui de son bienfaiteur et... elle a un instant de recul devant cette face déformée par une profonde cicatrice et des brûlures profondes. Pourtant, lesyeuxqui y brillent ne sont pas hostiles, juste... mélancolique et pleins d'une pitié incompréhensible. (...)
Elle cesse immédiatement son mouvement, regarde l'homme, et une voix rauque, presque brisée, sort de sa gorge : « J'ai... J'ai mal à la tête... » L'homme a un sourire triste, mais la lueur dans sesyeuxse fait encore plus amicale : « Rien de plus normal. Rallonge-toi, maintenant, tu as besoin de repos. (...)
Ne t'inquiète pas, tout va bien aller, maintenant. » La jeune fille serre très fort la main de l'homme, et sesyeuxse plonge dans les siens. Après un moment, sesyeuxse ferment et, tandis que l'homme hume une mélodie enfantine, elle s'endort. Les semaines et les mois s'enchaînent et, doucement, les douleurs qui vrillaient le cerveau de Yuè Hua finissent par s'estomper. (...)
Maîtrisant avec peine sa respiration, elle regarde vers le fond du trou et découvre avec une certaine surprise qu'une ouverture de briques y bée. Fermant lesyeuxune dernière fois, Yuè Hua murmure une petite prière à Er Lang et à Nezha puis, résolument, descend et s'engouffre sous la porte de brique. (...)
Sans un mot, Zhàn Shì se retourne enfin et la fixe longuement. Il porte un instant son regard sur sa main crispée sur le pieu de bois avant que sesyeuxne s'enfoncent dans ceux de l'adolescente. Puis ses lèvres se serrent avant de murmurer d'un ton dur : « Tu m'as désobéi... » Yuè Hua, honteuse, baisse la tête, et ses cheveux en désordre recouvrent son visage. (...)
([Nom de famille] Roseau Sauvage) Rêves et réalité Assis sur une natte près de l'âtre, l'enfant écoutait attentif son grand-père, lesyeuxbrillants et la bouche entrouverte : « ... Alors Chien Fou, lesyeuxinjectés de sang, se jeta une nouvelle fois sur Danseur Immobile, brandissant son épée de bronze. Le wuxia, qui n'avait toujours pas tiré son épée, resta immobile jusqu'au dernier moment. (...)
» Le vieil homme, son histoire terminée, tourna avec un sourire la tête vers son petit-fils. Ce dernier avait fermé lesyeuxen entendant la fin du récit, essayant de conserver quelques instants encore l'image du héros. L'ancien se pencha vers l'âtre et étala ses pauvres mains déformées par l'âge au-dessus du feu. (...)
L'aube n'est pas loin et le ciel à l'horizon a commencé à prendre des teintes roses et orangées. Imitant son grand-père, le garçon ferme lesyeuxet inhale profondément, puis relâche doucement son souffle. Petit à petit, il cesse de prêter attention au chant des oiseaux, puis au bruit de la petite brise sèche qui balaie la terrasse, se concentrant uniquement sur le bruit de son coeur et du sang qui court dans ses veines. (...)
En fait, on pourrait presque le prendre pour une statue posée là, faisant un tout avec la maison et le jardin. Il n'en est pas de même pour le garçon qui, régulièrement, ouvre lesyeuxet soulève une fesse ou l'autre. Finalement, le vieil ouvre lesyeuxet pose ses mains derrière sa tête avant de s'étirer. Le garçon se lève alors, et commence une série d'étirement sous le regard de son grand-père. (...)
- Ouais. Mais comment c'était ? » Un sourire béat apparaît sur le visage porcin de Pàng et ses petitsyeuxbrillent de plaisir : « Trop bon... Vraiment trop bon... Et sa peau, si douce... et ses lèvres... » Yú regarde d'un air bizarre son compagnon. (...)
En plus, rien de bien passionnant ne s'y passe vraiment : tous les jours répéter les mêmes gestes pendant des heures ne constitue pas un plaisir à sesyeux, et pourtant il ne se débrouille pas si mal dans les exercices à mains nues ou au bâton. Mais il n'y a rien d'excitant à faire ici. (...)
D'ailleurs, Yú ne lui a même jamais parlé, mais chaque fois qu'il la voit, il ne peut s'empêcher de la suivre discrètement desyeux. ********** Yú va lancer une nouvelle fois les dés. Ce soir, il n'est pas question de chance. Yú a déjà bien bu, mais ce n'est rien à côté de ce qu'a ingurgité Tong, et il n'est pas question de perdre face à ce dernier. (...)
S'il n'avait pas triché plus tôt pour rafler ce joli petit magot que Yú pensait déjà tenir, peut-être ne aurait-il été autrement, mais plus maintenant. Lesyeuxbrillants, Yú roulent les dés dans ses mains et, avec un geste théâtral, les envoie sur la table ; personne n'a remarqué quand il a échangé l'un d'entre eux pour un des dés pipés qu'il garde dans l'ourlet de sa manche. (...)
Quand il arrive devant les gardes, il s'incline précautionneusement, veillant à ne pas renverser le plateau et de sa voix fluette : « Oncle, j'apporte le repas de mon père, maître Féng An Yi. » Les deux gardes, appuyés sur leurs lances, se regardent et leursyeuxéchangent le sourire que leurs bouches n'esquissent pas. Ils connaissent bien le garçonnet qui vient tous les jours à la même heure avec son plateau. (...)
S'adressant à l'adolescent, il commence par lui demander de s'asseoir sur la couche située sur le côté de la pièce, prise entre une armoire dont les cases sont remplies de rouleaux de bambou et le bureau. S'approchant, il commence par lui examiner lesyeuxlonguement, puis lui demande de tirer la langue qu'il examine tout aussi attentivement. Puis il lui demande de retirer ses vêtements et de s'allonger, avant de l'ausculter et de palper ses bras, sa poitrine et ses cuisses. (...)Nouvelles décrivant les backgrounds de 4 personnages-joueurs en vue d'une campagne utilisant le scénario du LdB. Yuè Hua ?? (Fleur de Lune) Renaissance Flotter dans un lac noir... Le coeur qui cogne et, à chaque battement, une douleur sourde fait exploser les pensées... Une lueur s'approche, et la terreur qui enfle... Fuite éperdue, mais la lumière gagne du terrain... Elle est là, juste derrière, et il ne reste d'autres choix que de lui faire face ; alors, se retourner, et... La jeune fille se réveille ...