Nouvelle : Une fleur pour la princesse
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Lorsque j'arrivai enfin en haut de la colline, je me mis à penser à toute cette sombre histoire... Oh certes, je n'étais pas un grand poète ou ne possédais pas des qualités de conteurs comme les compagnons de la guilde des bonnaventures mais quand même... Il y avait certainement dans ce que je venais de vivre une leçon à tirer ou un message à laisser à ceux qui font une confiance aveugle à ce que leur dicte leur cœur. L'ignorance et la naïveté ont cette vertu qui permet aux faibles, aux timorés ou ...Contient : coup (60)(...) Il n'y a que là-bas que je pourrais bénéficier des vertus de cette panacée : ma résistance à la magie sera amoindrie en haute zone de fluide. Même pour Doliane, ça faisait pas mal d'uncoup: il fallait digérer le truc. Quant à moi, ce n'était vraiment pas mon jour pour que j'avale n'importe quoi. (...)
Nasht ne fut pas difficile à convaincre ; il était à peu près aussi saoul que nous et il était habité par une douce folie qui lui faisait penser qu'il était une sorte de prince déchu en exil : un vieuxcoupde casse-tête galrodien pris en travers de la figure quelques années plus tôt. Mais en dehors de ça, il n'était pas méchant. (...)
Mais je ne voulais pas craindre l'eau glacée: je soutins son regard et piquai avec un air sournois. -Lecoupde la tirade affective, ça ne marche pas avec des gens comme toi et moi. Si t'as envie de rester de marbre tout le voyage, je t'empêche pas. (...)
Lombardo se tenait devant Maavira à quelques pas derrière Nasht. Les vouivres étaient trop rapides à présent: mes flèches ne pourraient les atteindre àcoupsûr à la tête que lorsque qu'elles seraient presque au sol à combattre mes compagnons. Doliane releva la tête. (...)
Doliane émit un gémissement lorsqu'elle lança son attaque psychique. L'effort plus violent lui avait occasionné un contre-coup. La tête de la vouivre majeure éclata comme un fruit mûr un peu avant que ma flèche ne se fiche dans la pulpe. (...)
Je souris en pensant à mon bon Marik sautant en hurlant sur le dos de la vouivre avant de lui asséner uncoupfatal. Il avait les moyens d'être inconscient face au danger. Personne d'autre que ceux qui possédaient ses capacités et sa folie n'auraient pu accomplir un tel exploit. (...)
Je pus lire un court instant dans son regard un éclat qui voulait dire quelque chose comme : "Désolé bonhomme, je fais mon boulot... Tu n'aurais pas dû te réveiller..." -Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Criai-je sous lecoupde la colère. Je me mis rapidement accroupi en position de défense. Je n'étais pas certain de tenir longtemps face à Lombardo. (...)
-Pourquoi ? -Parce qu'on ne peut arracher un cristal comme ça à sa gangue rocheuse sans prendre un contre-coup... La princesse Dorli sacrifiait le prince velu... Pourquoi étais-je si ironique ? La colère sans doute. (...)
Il cherchait à m'embrouiller. Il me mentait pour saisir un mince avantage et pouvoir m'assommer d'un seulcoupde poing. Non, il ne voulait pas me tuer maintenant: j'étais trop utile pour sortir du Territoire-Dragon et assez faible pour être contrôlé. (...)
Il leva la hache pour trancher le lard de Marik. La peur me dépassa et je perdis mon attention. Lombardo en profita. Il tira ma jambe d'uncoupsec en appuyant sur un point sensible. Je m'écroulai violemment sur le dos, presque paralysé. Une voix submergea au-dessus de la vague de ma douleur: Maavira qui criait : 'Frappe les tous et assomme Chat ! (...)
Ses yeux me lancèrent une malédiction. L'espace d'un battement de coeur, je sentis mon âme se déchirer. Puis il y eut comme uncoupde tonnerre lorsque ma pierre heurta le cristal. Toute l'énergie contenue à l'intérieur se libéra avec une force si vive que je fus propulsé comme une flèche dans les airs. (...)
Elle était amoureuse depuis longtemps de Lars. Mais ces deux là n'avaient jamais su se trouver. Sur l'instant, je me promis de leur donner uncoupde pouce un jour... - Héhéhé ! Ca aussi, ça pourrait être une autre histoire... Servez-m'en d'abord un autre ! (...)
Il avait un affreux goût de sang dans la bouche. Ses poumons étaient meurtris et sa veste déchirée. Il avait dû prendre un sacrécoupdans son sommeil parce qu'il était couvert de sang coagulé au niveau de la poitrine. Au dehors, la tempête magique faisait rage. (...)
Il y avait visiblement eu des traces de combat et il constata, en massant sa poitrine et la déchirure béante dans son cuir qu'on avait dû lui mettre uncoupde tranchoir ou de hache qui l'avait laissé pour mort. Il décida de passer au second plan la priorité de déterrer son marteau de guerre et son épée pour se pencher vers Doliane. (...)
Marik n'était pas grand clerc mais il comprit au regard torve de la belle qu'elle n'en savait pas plus que lui sur la situation actuelle. Il songea un instant qu'elle était encore sous le choc du contre-couppsychique qu'elle avait subi en tuant la vouivre majeure la veille. Mais ça n'avait pas l'air d'être ça. (...)
Doliane ne sortit pas sa dague en os, elle focalisa ses ressources intérieures pour se préparer à lancer une déflagration psychique et jeta un rapidecoupd'oeil vers le haut du monticule qui se découvrait maintenant. La surprise la laissa bouche bée assez longtemps pour que Marik puisse arriver à une hauteur suffisante pour profiter, lui aussi, de la scène: Nasht était allongé sur le dos, complètement roussi. (...)
.. Vous devez avoir sacrément mal à la tête pour serrer les dents comme ça. Doliane tenta en vain lecoupdu sourire cynique et, tout en jetant brièvement des regards de côté, répliqua avec l'intention ferme de marquer un point: -Oui, j'ai mal. (...)
Le trône qui lui était destiné, la gamine qui lui demandait avec un étrange regard de devenir son protecteur en lui donnant un objet, la tête d'un brigand qui roulait, un rêve bizarre et dérangeant où il abattait uncoupde hache sur son pote Marik. Non, penser, même à voix haute, n'était pas une sereine activité pour quelqu'un comme lui. (...)
Tout comme tu dois un jour reprendre ton trône en Galrodie ! -Ben justement heu... Entre prince et princesse, on pourrait se donner uncoupde main non ? -Je ne demanderais pas mieux, mais nos routes doivent se séparer mon cher prince Nasht. (...)
Elle n'acceptait ce geste que de lui, personne d'autre ne pouvait la forcer - pas même son mari - si elle n'avait pas envie de faire une chose. La pression sur sa nuque la guida doucement vers l'objet du désir. Elle jeta un derniercoupd'oeil dans la glace avant d'y goûter et occulta dans son esprit toutes les pensées qui la préoccupaient. (...)
C'était des animaux loyaux et fidèles, on pouvait compter sur eux. La griserie de la cavalcade emportait un peu ses sens, il donna un légercoupde pied sur les flancs de l'animal pour accélérer le galop. Il avait choisi le meilleur étalon pour Laïdrella, elle serait bien avant lui à l'orée de la forêt, mais il ne voulait pas donner l'impression d'être un piètre cavalier. (...)
Elle avait seulement quelques coudées d'avance, ses cheveux noirs battaient au vent et déchiraient avec rage le ciel azuré. Elle tira d'uncoupsec sur les rênes, le cheval se cambra. Elle se retourna avec un sourire ravageur pour l'attendre. (...)
Il plongea en roulant entre les deux assaillants pour tenter de les prendre de dos. Il n'avait pas le temps de concentrer son "Hra" dans uncoupdévastateur. Il visa précis dans son plongeon. Sa lame sectionna net le tendon du plus lourd des assaillants au niveau de la cheville. (...)
Il préféra ne pas se camper sur sa position et sauta, à nouveau, sur le côté pour faire le tour du chariot. Lecoupde casse-tête du géant s'écrasa dans la flaque. Les grands rudes étaient forts et possédaient de l'allonge, mais ce qui comptait c'était la rapidité. (...)
Lombardo sauta sur le chariot pour cueillir le lanceur de couteau qui se trouvait de l'autre côté. Un autrecoupde casse-tête ébranla le chariot. Lombardo bondit à nouveau sur le sol derrière le lanceur de couteau qui se retournait : une velue avec une cape sombre. (...)
-J'ai aperçu ces types, ouais... Mais je veux pas de fric pour les trouver. Je veux faire équipe avec toi dans lecoupque tu prépares le briscard ! Le briscard ! Le vieux briscard ! C'était bien trouvé. Le sourire de "Casse-tête" s'élargit encore. (...)
Lombardo serra la hanse de la choppe plus fort dans sa main, jusqu'à blanchir ses articulations. Il songea tout àcoupqu'il ne valait sans doute pas plus que cette mouche au sein du conseil Dorli. Mais la comparaison s'arrêta là : le cidre dans lequel il se noyait était plus pur, il était brassé par l'honneur et la fidélité sans rémission. (...)
Toi, tu seras mon garde du corps... -Tout ce que tu veux Serpent. Tu causes et moi j'agis... Lombardo reposa sa choppe et jeta uncoupd'oeil sur l'équipement de "Casse-tête". Il avait pillé les affaires de ses amis : dans la vie, il n'existait pas de petits profits. (...)
- Coupa Davon - Marik doit accompagner un gars qui nous a sauvé la vie au monastère. Le type est dissemblant comme nous, mais il a pris un sacrécoupsur la tête, il ne se souvient que de son prénom. -C'est pas un nom, Nasht ! Sa mère devait avoir de la fiente dans la tête le jour où ce pauvre type est né ! Pesta Marik. -Marik ! Arrête de faire le con merde ! Brailla le nain chauve en lui donnant uncoupde coude. -Bref... - Reprit Davon, sans jeter un oeil sur les nains - On a dû désigner au hasard quelqu'un dans le groupe pour accompagner ce velu au monastère. (...)
Lombardo se força à dessiner un sourire amusé sur ses lèvres et sonda rapidement le groupe d'aventuriers avec l'acier de son regard. -Donc, vous ne pourrez être que quatre sur cecoupsi vous l'acceptez ? -Tu l'as dit vieux bouffi ! Mais même si je suis pas de la partie, y a pas de raison que je boive pas ta houppe-brune ! (...)
Peut-être avait-il senti qu'il ne lui restait que quelques battements de cil à vivre. Lombardo glissa un brefcoupd'oeil sur le campement, personne ne semblait les observer. -Dis-moi "Casse-tête"... Tu as bien changé en une semaine. (...)
Il tenta de lutter contre l'évanouissement. En vain. Il était déjà dans le gouffre noir lorsque le deuxièmecoupde poing lui brisa le nez par le dessous, lorsque les esquilles d'os plongèrent dans son cerveau, lorsque Jazerbel lui tendit les bras. (...)
Tout défila encore plus rapidement : la pression dans la tête, l'impression que le nez et les oreilles étaient réduits à l'état de pulpe sanguinolente, la lame plongeant dans le ventre du démon, les crocs déchirant la chair de son cou, la roulade pour éviter lecoupde masse et le porter sur le démon, la colonne vertébrale du démon volant en éclat, la lame brisée par le choc, le dégagement rapide pour éviter un deuxièmecoupde masse, Rasjta s'écroulant genoux au sol. En se réceptionnant en arrière, Lombardo dégaina sa griffe-lune. (...)
Jazerbel apparut dans son regard et Davon s'effondra sans avoir eu une seule réponse. Lombardo se pencha sur Rasjta ; il commençait déjà à reprendre conscience. Uncoupbien placé à la nuque l'envoya rejoindre les étoiles. Lombardo inclina la tête vers son torse. Le sang pissait sur son bras, sa jambe et son cou, un autre que lui n'eut peut-être pas supporté la douleur. (...)
Elle ressentit l'onde de choc jusque dans son coeur. Caillou, cristal, serpent et conscience explosèrent en même temps. Tout s'arrêta d'uncoup. Tout devint noir. -Réveille-toi le chat mince ! Alleeeeez quoiiiiii. Un petit effort ! Un rêve, un rêve que j'avais oublié. (...)
Marik s'approcha et posa sa tête au-dessus de Nasht, ce dernier semblait masser doucement le bout de son doigt. -Je lui mets uncoupde pied au cul ou je lui gueule dans l'oreille ? Doliane tourna la tête sur la droite. Un peu plus haut, dans un bosquet, elle avait cru entendre une branche bouger. (...)
Toujours aussi synchrones, les deux guerriers levèrent leur tête vers Doliane avec le même air interrogatif. -Il a pris uncoupde trop sur la tête ou quoi ma belle ? -Je n'en sais rien Marik. Répondit Doliane en se rapprochant doucement. (...)
Le chat se coucha nonchalamment, tête relevée en direction de la lutine. Doliane décida de s'accroupir au sol, après un brefcoupd'oeil à ses amis pour leur signaler d'en faire autant. Il s'exécutèrent. Mieux valait sans doute témoigner du respect à cette créature en se mettant à sa hauteur. (...)
Ils ne semblaient pas être sous l'emprise des "spores", ils avaient juste besoin de se vider un grandcoup. Elle se releva sans faire de bruit et se dirigea vers la forêt. L'oiseau avait totalement disparu. (...)
Ils furent interrompus par un bruit mat et sourd, comme celui d'un corps qui chutait. -Tu vois quêqu'chose, gros tas ? Nasht sortit ses griffes en jetant un vaguecoupd'oeil devant lui. -Nan. Mais j'attends pas, j'y vais. Ils n'eurent pas vingt coudées à faire pour trouver Doliane endormie près d'un tronc d'arbre. (...)
-C'est bien ici que tu te rappelles l'avoir vu s'écrouler, non ? -Ben ouais, mais j'étais dans les vapes moi. Ch'ais pas trop ce qui s'est passé. J'ai mis uncoupdans l'bide de Marik, ch'crois. Le nain se massa le ventre et caressa son cuir. -Ouaip gros bouffi ! (...)
Ces six fleurs représentent plus d'une année de débauche pour nous tous. Et on ramènera ce gars au Dragon en entier ! Marik lança uncoupde coude dans la cuisse de Nasht et un clin d'oeil vers la lutine -Je déconnais ma belle ! Ce qui est le plus important c'est qu'on soit en vie et qu'on aille vite retrouver ton matou avant qu'il fasse une connerie. (...)
Il se massa légèrement le cou et ne grimaça pas lorsqu'il sentit le sang poisse qui avait coulé de ses oreilles et de sa plaie à la tête. Il posa la main sur sa poitrine : la blessure n'était que superficielle, il avait accompagné lecoupde couteau tout à l'heure. Sa vision n'était pas encore très nette, de nombreux phosphènes voltigeaient et apparaissaient de façon chaotique un peu partout où il portait le regard. (...)
Le nain, lui, avait dû gravir l'autel de Jazerbel mais s'était visiblement contenté de lui faire un bras d'honneur. La trace ducoupde hache qu'il avait reçu avait presque disparu de sa poitrine, il n'allait pas tarder à se réveiller. (...)
Lombardo essaya de distinguer son visage mais il n'en eut pas le temps. La forme bondit sur lui pour le décapiter. Lombardo plongea sur le côté pour éviter lecoupet roula. La forme se retourna sans un bruit et se jeta à nouveau sur lui. Lombardo comprit soudain qui était cette forme : elle se déplaçait comme lui, elle combattait avec ses techniques et un liquide aussi noir que celui du plafond de la cathédrale coulait de sa lame Dorli. (...)
Lombardo réprima sa surprise en omettant, même, d'hausser un sourcil. -Ai-je bien compris, Prince ? Daerel porta la coupe à ses lèvres et avala d'uncoup. Ses yeux devinrent vitreux comme s'il regardait dans le vide. Il laissa passer un long moment avant de répondre. (...)
C'est impossible avec tous les dangers qui le guettent dans le Territoire-Dragon. Et je vais tâcher de le joindre tous les sabliers... -Tu tiendras lecoup? Lazlo caressa le cristal-mineur incrusté dans son front -J'en ai vu d'autres et je suis bien équipé. (...)
Il déploya ses ailes et s'envola un peu vers la gauche, en direction de la vallée. Ca avait l'air d'un signe... Je dépliai mes jambes et décidai d'aller jeter un brefcoupd'oeil dans la direction qu'avait prise l'oiseau. En à peine un demi-sablier, je fus au bord du Territoire-Dragon, au sommet d'une petite falaise. (...)
A peine la moitié de son tronc atteignit-elle le sommet, qu'il tenta une manoeuvre acrobatique pour esquiver moncoup. Ma pierre vola à toute vitesse vers sa tempe. Il tenta d'essuyer le choc en roulant. Je fis d'un bond les trois pas qui nous séparaient et lui envoyai un grandcoupde pied pour le finir. Ce ne fut pas suffisant. Même aveugle et épuisé, Lombardo était un monstre de combat. (...)
Le galet le cueillit en plein front alors qu'il se relevait déjà pour sauter sur moi. Il s'écroula. J'assénai aussitôt un grandcoupà l'arrière du crâne pour lui régler son compte. J'avais déjà eu beaucoup de chance, la dernière fois, en me battant contre lui : il ne fallait pas trop tirer sur la corde. Je mis un autrecouppour être vraiment sûr et entrepris de le ficeler du mieux qu'il était possible. Ce qui restait de nourriture et d'eau dans sa besace remplit rapidement mon estomac en attendant qu'il se réveille. (...)
J'adressai une brève prière à Cipion et me rapprochai lentement, très lentement... Les yeux de Lazila devinrent blancs, l'énergie débordait en elle. Elle manqua de libérer uncoupdévastateur sur un tronc d'arbre mais se retint. -C'est pas possible ! Il a dû lui arriver quelque chose ! (...)
Je m'écroulai au sol à trois coudées du corps de Lazlo. La lame de Lazila déchira deux fois l'air. Lombardo parvint à esquiver le premiercoupet parer le second. Maîtrisant ma douleur, je rampai vers Lazlo. Je perçus à quelques pas de moi, de l'autre côté du buisson, Lombardo qui tentait de contenir les assauts de Lazila. (...)
Et tu vas nous expliquer en long et en travers pour qui tu travailles ! Sinon couic le maggo ! Je mis un grandcoupsur la tête du magicien pour qu'il ne se réveille pas. Elle ne quitta pas des yeux Lombardo et siffla : -D'ici, et même si je suis sur le côté, je peux te planter une quatrième étoile dans la gorge. (...)
Elle commit l'impair de tourner la tête vers moi. La garde du couteau de Lombardo la cueillit en pleine tempe. C'est à peine si je vis venir lecoup. Ce sacré Lombardo était plus rapide qu'il ne l'avait montré dans le combat. Il n'avait fait que prolonger la scène pour que je puisse avoir le temps de menacer Lazlo. (...)
Il s'approcha sans faire un bruit et se pencha : il n'eut même pas l'air amusé. Il fixa un moment les plaies et porta uncouprapide sur ma nuque. Sans doute pour que je ne sente pas la douleur. Les ténèbres jetèrent un lourd voile sur ma pauvre conscience meurtrie. (...)
Marik désigna sa botte crottée. -Ouaip ! Si t'avais pas l'air d'avoir aussi mal au cul, je t'en mettrais bien uncoupmoi, greffier de mon coeur et de mes godasses ! Le regard de Nasht sembla s'allumer lorsqu'il me lança: -T'as eu quoi comme épreuve, toi ? (...)