Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : prison (7)(...) Il avait deux frères et une soeur qui changèrent de patronyme après l'affaire. Du Havre, Troppmann est transféré dans uneprisonparisienne. Le 26 septembre, nouveaux développements de l'affaire. On découvre à 30 mètres du lieu du massacre le cadavre de Gustave Kinck, un couteau planté dans le cou. (...)
On ne retrouvera jamais l'étui et la justice ne retiendront pas ces derniers aveux, sans doute inventés de toutes pièces... Le 9 décembre, Troppmann est transféré à laprisonde la Conciergerie à Paris. Le 31, après cinq jours de procès en assises, il sera reconnu coupable et condamné à mort. (...)
L'Empereur refusera au meurtrier sa demande de recours en grâce. L'exécution a lieu le 19 janvier 1870 devant une foule nombreuse, place de la Roquette, face à laprison. A 7 h précises, Jean-Baptiste Troppmann est basculé sur la planche de la guillotine. Au moment où le couperet s'abat, ce curieux personnage mord le pouce du bourreau. (...)
Ce pamphlet propose des moyens de diminuer les marques et d'accroître la sécurité et le contrôle sur ces actes. Un sculpteur de 42 ans a été condamné vendredi à neuf mois deprisonà Londres pour avoir volé des cadavres humains afin de rendre ses oeuvres plus réalistes, une sentence sans précédent dans l'histoire judiciaire britannique. (...)