Voyage au Centre de la Terre
sur Les Ludopathes
Contient : angleterre (5)(...) Ses yeux, percés dans une tête très grosse et assez naïve, me parurent intelligents. Ils étaient d'un bleu rêveur. De longs cheveux, qui eussent passé pour roux, même enAngleterre, tombaient sur ses athlétiques épaules. Cet indigène avait les mouvements souples, mais il remuait peu les bras, en homme qui ignorait ou dédaignait la langue des gestes. (...)
« Qu'as-tu donc ? dit-il. 9 Ainsi nommée parce que les terrains de cette période sont fort étendus enAngleterre, dans les contrées habitées autrefois par la peuplade celtique des Silures. - Voyez ! répondis-je en lui montrant la succession variée des grès, des calcaires et les premiers indices des terrains ardoisés. (...)
Nous avons franchi deux cent soixante-dix lieues de mer depuis Port-Graüben, et nous sommes à six cent vingt lieues de l'Islande, sous l'Angleterre. XXXV Vendredi 21 août. - Le lendemain le magnifique geyser a disparu. Le vent a fraîchi, et nous a rapidement éloignés de l'îlot Axel. (...)
Sommes-nous toujours sur la mer ? Oui, et emportés avec une vitesse incalculable. Nous avons passé sous l'Angleterre, sous la Manche, sous la France, sous l'Europe entière, peut-être !... Un bruit nouveau se fait entendre ! (...)
Près de lui se rencontrèrent des haches de pierre et des silex taillés, colorés et revêtus par le temps d'une patine uniforme. Le bruit de cette découverte fut grand, non seulement en France, mais enAngleterreet en Allemagne. Plusieurs savants de l'Institut français, entre autres MM. Milne-Edwards et de Quatrefages, prirent l'affaire à coeur, démontrèrent l'incontestable authenticité de l'ossement en question, et se firent les plus ardents défenseurs de ce « procès de la mâchoire », suivant l'expression anglaise. (...)Jules Verne. Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits ». I - Le 24 mai 1863, un dimanche, mon oncle, le professeur Lidenbrock, revint précipitamment vers sa petite maison située au numéro 19 de Königstrasse, l'une des plus anciennes rues du vieux quartier de Hambourg. La bonne Marthe dut se croire fort en retard, car le dîner commençait à peine à chanter sur le fourneau de la cuisine. « Bon, me dis-je, s'il a faim, mon oncle, qui est le plus impatient des ...