Le Brâme du Cerf Noir
sur Hunahpu au format (439 Ko)
Un scénario non officiel dans le monde d'Etherne, édité chez La BAP, avec les règles de « Barbarians of Lemuria » (propriété de Simon Washbourne, traduit en Français par Kobayashi chez Les livres de l'Ours). Auteur du scénario : Elwin Charpentier. Relecteur(s) : un bénévole peut courir vite quant il est bien nourri. On a posé des pièges à pizzas un peu partout et dès qu'on en a trouvé un on vous l'amène ici. Maquettiste : il semble qu'il soit parti avec les relecteurs. On vous tient au courant ...Contient : fin (11)(...) Interprétant cette histoire avec une perspective toute personnelle, il s'est lancé dans une guerre sansfin, envoyant ses cavaliers aux quatre coins du monde, semant mort et destruction dans leurs sillages. (...)
Pendant ce temps, un autre guerrier du Cerf noir, semblable à un khânite, s'empare d'une jument et parvient à s'enfuir avec. A lafindes combats le troupeau des juments est dispersé, et le soleil bascule dans l'horizon, initiant le début du Temps. (...)
Il leur faudra sans doute négocier et, s'ils ont tué des membres du clan, offrirent des réparations, et des dettes (comme, par exemple revenir se marier au village dans les marais, après lafinde l'aventure). Ils pourront être confrontés au sage du village, qu'ils pourront convaincre de leur bonne foi en leur donnant des éléments sur le temps des rêves, obtenus lors de leur vision. (...)
Ils doivent alors tenir le temps de délivrer la Jument Sacrée entravée à ses pieds. C'est seulement à ce moment qu'ils pourront quitter ce terrible cauchemar et mettre ainsifinà l'ambition dévorante d'Ubïlai Khan... INTRODUCTION : Scène 1 : In Media Res. Musique : BO Mongol-Martial rage. (...)
Pendant ce temps, un autre guerrier du Cerf noir, semblable à un khânite coiffé de cors de chevreuil, une petite flûte rouge autour du cou, s'empare d'une jument et parvient à s'enfuir avec. A lafindes combats le troupeau des juments est dispersé, et le soleil bascule dans l'horizon, initiant le début du Temps. (...)
Lors du combat les PJs peuvent aussi tenter d'altérer le monde du mythe en tentant un jet d'Esprit d'une difficulté variable selon l'altération voulue...C'est ce qu'utilisera Ulagan pour semer d'éventuels poursuivants, soulevant le sol par vagues, ou faisant jaillir des épieux de pierre. Il doit ainsi pouvoir s'échapper, jusqu'au moment où l'éclipse prendrafin. Les PJs auront alors pour dernière image le Cerf Blanc qui brame à mort et ses cors qui se pétrifient pour former le mont des deux aiguilles. (...)
Il leur faudra négocier et, s'ils ont tué des membres du clan, offrirent des réparations, et des dettes (comme revenir se marier au village dans les marais, après lafinde l'aventure...). La mention du combat contre le Cerf Noir sera toutefois décisive. Les anciens demanderont à ce qu'ils versent leur sang avec une des armes en obsidienne et observeront attentivement leurs réactions, pour s'assurer qu'ils ne sont pas des agents de l'ennemi : ces derniers supportent très mal la morsure de l'obsidienne. (...)
Armes : épée (1D6) poignard (1D3). Point de Vilenie : 3 Une victoire pendant le combat est importante, mais elle ne met pasfinau désir d'Ubilaï Khan de voir toutes les femmes de la Terre ramenée à son camp, et donc celle du clan des PJs...Seule la libération de la jument sacrée mettrafinau sort qu'Ullagan lui a lancé. Tout au plus les PJs pourrontils négocier quelques jours de plus avant que leur clan n'amène ses femmes, et qu'eux-mêmes puissent pendant ce temps faire la dernière chose qu'il reste à faire : à l'aide de la flûte du chaman aller dans l'antre du Cerf Noir et libérer la Jument. (...)
Ils apprendront quelques jours plus tard que le Grand Khan, très troublé, s'est retiré dans sa yourte pendant plusieurs jours sans voir personne. C'est au terme de cette retraite qu'il a annoncé à son peuple lafinde leur guerre sansfin, et le retour dans leurs terres natales. La Horde, pour la première fois depuis bien des années, s'apprête donc à faire route vers l'Est. L'emprise d'Ullagan sur le Grand Khan est donc bel et bien finie, et leur village sauvé. (...)