Le passé de Kerian
sur Les Terres de Kernos au format (509 Ko)
Alors que Kerian ou plutôt Coren de son véritable nom pensait avoir échappé à son passé, un de ses anciens amis, appartenant au service secret Tarkeshite lui apprend qu'il est suspecté de haute trahison après sa disparition inexpliquée lors de sa dernière mission... La trahison étant un acte grave, et Coren étant introuvable les autorités Tarkeshites ont emprisonné certains de ses parents dans le but de le faire sortir de sa tanière... Le complot « Ou l'on apprend ce qui s'est réellement passé ...Contient : mer (7)(...) La question du transport étant réglée les PJ n'ont plus qu'à attendre d'une manière ou d'une autre le départ. La Traversée vers Nio « Ou les aventuriers découvrent les joies de la navigation surmer» Il faudra environs huit jours au convoi pour rejoindre le Tarkesh, ou deux étapes sont prévues : La première à Nio, la seconde à Banarva quelques jours plus tard. (...)
Nio « Ou Coren apprend que l'un de ses frères à quitter la ville » L'un des frères de Coren, Abarran, vit à Nio et y possède un petit logement. Abarran étant enmerlorsque la garde à voulut l'appréhender chez lui il a put leur échapper. Ayant été prévenu par l'un de ses voisins lors de son retour, il à put quitter la ville, non sans être aller expliquer la situation à son employeur qui appréciant le travail qu'il effectue s'est montré très compréhensif, et se rendre à Froid-de-Vorn ou il y a retrouvé Hiullam. (...)
Durant cette visite Abarran reste bien sur caché... Coren étant recherché, son portrait est placardé dans tous les postes de garde et dans les lieux publics ( places, marchés, etc... ), avec une très jolie petite récompense d'environs 10 000 Gb à l'appuie ce qui pourrait en tenté plus d'un... Si Coren décide malgré tout de retrouver Abarran, il pourra apprendre par ses voisins que des soldats sont venus l'arrêter, mais que ce dernier se trouvait enmerà ce moment là, qu'il est revenu le lendemain et qu'en apprenant ce qui s'est passé il est reparti et que plus personne ne l'a aperçu depuis. (...)
Le trajet de Nio à Froid-deVorn prend un peu moins de deux jours ( une journée et demi ), si les aventuriers décident de s'y rendre ils n'auront donc pratiquement le temps que de faire l'aller retour avant le départ du convoi (si toutefois ils décident de partir par voie demer). Froid-de-Vorn « Ou Coren retrouve ses deux jeunes frères » La première journée de trajet se déroule sans encombre. (...)
Le reste du parcours se déroule sans incident notoire, et l'arrivé se fait en milieu d'après-midi. Il s'agit d'un petit village d'un peut plus de deux cents âmes situé en bord demer, et vivant de la pèche et de l'agriculture. Le village paraît tranquille, la plupart des hommes sont aux champs ou sur la plage non loin de là en train de vérifier leurs filets de pèche, des embarcations de pécheurs sont visible sur lamerau loin, quelquesuns sont en train de construire un embarcadère ( projet dont on parlait déjà lors de la dernière visite de Coren). Quelques enfants jouent dehors sous le regard vigilant des anciens du village. (...)
Tous les marins du bord ainsi que ceux des autres navires observent ce mystérieux navire espérant qu'il ne s'agisse pas la de l'incarnation de leurs craintes... Peu à peu les contours de ce bâtiment apparaissent plus nettement, et une terreur à nul autre pareil gagne les marins à la vue du symbole du chaos ornant la grande voile de ce qui n'est autre qu'une galère de guerre Pan-Tangienne... Mis à part la terreur qu'elles inspirent, ces galères sont des navires très impressionnants, faisant plus du double de la taille d'une trirème et possédant un certain nombre de machine de guerre à leur bord. Combat enmer« Ou d'innombrables horreurs s'abattent sur nos héros » Alors que la galère Pan-Tangienne s'approche du convoi, les 4 trirèmes escortant le convoi se portent à sa rencontre pour engager un combat qui s'avère malheureusement inévitable, les Pan- Tangiens ayant pour coutume d'attaquer tous ce qui bouge et de discuter ensuite ( même s'il faut réveiller les morts pour cela ! (...)