Pour quelques yôkais de plus
sur TengaJdr au format (238 Ko)
Cette aide de jeu a pour objectif de proposer quelques yôkais à intégrer dans vos parties, afin de compléter ceux déjà présents dans le livre de Tenga. Même s'ils sont devenus extrêmement populaires plus tardivement, les yôkais sont très ancrés dans la culture du Tenga et sont pour la plupart la matérialisation des craintes et angoisses d'un lieu ou d'une époque. On les trouve donc un peu partout mais ils sont surtout présents dans les endroits où ces craintes ont tout loisir de s'exprimer ...Contient : enfants (4)(...) Légende : lors des funérailles d'une personne particulièrement mauvaise, il arrive qu'un orage noir vienne perturber la cérémonie, voire même qu'une forme féline en sorte et renverse le tonneau faisant office de cercueil. Mais ce trouble, que redoutent tous lesenfants, n'a rien d'un simple incident. Il s'agit d'un kasha, venu non seulement faire payer ses crimes au défunt en l'emmenant aux enfers, mais également pour montrer à tous sa vraie nature et pour jeter le déshonneur sur les siens. (...)
Kitsune no yomeiri : Accroche : alors que la nuit s'apprête à tomber sur les montagnes, des voyageurs perdus dans la forêt sont guidés jusqu'à proximité d'un château par les lueurs d'un impressionnant cortège. Mais alors qu'ils pensaient que celui-ci était dû au mariage d'un desenfantsdu maître des lieux, ils sont surpris d'apprendre que personne ne comprend à quoi ils font allusion, ni n'a rien vu de tel. (...)
Bien mal en prend à ceux qui les laissent rentrer chez eux. On dit qu'ils détruisent tout et s'accaparent le reste, enlevant lesenfantspour leur faire subir quelque horrible sort. En cas de refus, ils ils continuent leur chemin jusqu'au village suivant. (...)
Utilisation : les histoires d'étrangers qui effrayent et qu'on accuse de mille maux sont légion et les personnages, souvent errants également, pourraient donc être concernés au premier chef. Ils peuvent avoir réellement enlevé desenfants, vu les ravisseurs, voire sauvé les petites victimes des vrais coupables. Car, le poids de la communauté est souvent bien lourd et il peut s'agir tout simplement d'une vérité que les parents, prisonniers de leurs mensonges, n'osent dire de peur d'être rejetés. (...)