La Bretonnie
Contient : gloire (4)(...) Chacun tentant de faire mieux que son concurrent, tous tentent de bâtir les maisons les plus hautes possibles, comme de grands monuments à lagloirede leur réussite financière. Les plus grands sont presque des palais. De toutes les constructions de la cité, les deux plus grandes sont le palais du gouverneur, sur la colline de la tour et la forteresse de Bordeleaux, sur la colline des exécutions, chacune étant entourée d'immeubles plus petits, tentant de copier leur grandeur. (...)
Ici, situation unique dans le Vieux Monde, les plus maléfiques des mutations du Chaos s'exposent ouvertement dans les rues. Des chants inhumains, à lagloiredu Chaos, s'élèvent tranquillement dans l'air puant. Parravon : Parravon se situe sur la rive nord de la Grismarie supérieure adossée aux contreforts d'élévations de terrains calcaires. (...)
- Chevaliers errants : Ce sont soit des chevaliers bretonniens envoyés par le roi pour aider les alliés de la Bretonnie ou des bandes de chevaliers dans une quête cherchant l'honneur, lagloireet une réputation en combattant pour de nobles causes dans des contrées étrangères. Hommes d'armes : Les bretonniens emploient deux types d'hommes d'armes réguliers : les suivants des chevaliers ('vilains') et les troupes sont déployées et équipées par les villes bretonniennes pour la défense du royaume ('paillards') . (...)
De cette manière, ils participent à d'innombrables petites guerres entre seigneurs rivaux, recevant parfois lagloire, la fortune ou une terrible réputation. On trouve aussi dans leurs rangs des criminels qui rejoignent les armées bretonniennes en temps de guerre qui retournent généralement au crime dès que leurs unités sont dissoutes Ils portent une armure légère et une arme à une main. (...)La Bretonnie est un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire ...