Les Cités Souveraines de Tilée
Contient : vieux (12)(...) Dans la sécurité relative de leurs propres frontières, ils sont heureux de contester les déclarations estaliennes concernant la première colonisation humaine duVieuxMonde, mais ils y regardent à deux fois avant d'en débattre avec un natif d'Estalie. LANGAGE : Les Tiléens parlent un dialecte musical issu de l'Occidental. (...)
CITES : Les plus grandes cités Tiléennes (mais il en existe de plus petites) sont : Luccini, bâtie près d'un ancien port des Elfes des Mers; Miragliano, construite sur des îles, avec des canaux en guise de rues; Remas, patrie des plus grands pêcheurs duVieuxMonde; Sartosa, la cité des Pirates et Tobaro, la cité des Sirènes. Luccini : La plus grande plaine méridionale de Tilée, une terre fertile, prospère, célèbre pour ses chevaux et ses greniers bien remplis, constitue l'arrière-pays de Luccini. Derrière ses murs élégants se trouve le plus grand mausolée duVieuxMonde, dédié au Dieu Mórr. C'est là que, tous les dix ans, sont convoqués tous les grands Prêtres du Culte. (...)
Les Miraglianiens sont un peuple vigoureux et ambitieux. On trouve des marchands de la cité dans tous les coins duVieuxMonde; achetant des fourrures et de l'ambre à Erengrade, distribuant des marchandises duVieuxMonde à Marienburg, ou marchandant avec des commerçants arabes à Magritta. Pour voir plus loin : http://user. (...)
Cela rend le lagon extrêmement propice à la vie aquatique; un bienfait que les Rémains exploitent à fond. Ils ont acquis la réputation d'être les meilleurs pêcheurs duVieuxMonde. La cité a été construite à la pointe de la péninsule, cernée de murs de tous côtés. Pour affermir encore ses défenses, la cité s'est doté de deux lignes de murs intérieurs qui suivent le contour de promontoire et s'élèvent en une splendide citadelle, au sommet. (...)
Rémas et Miragliano entretiennent une certaine inimitié réciproque et on a souvent vu les deux cités guerroyer entre elles, sollicitant souvent l'aide des autres cités tiléennes et engageant les services de mercenaires venus de tous les coins duVieuxMonde. Sartosa : Une rumeur qui circule dans le nord affirme que tous les tiléens sont des pirates. (...)
Des vaisseaux-pirates de toutes tailles et de toutes formes jettent l'ancre dans le grand port de Sartosa, pendant que la Cité s'emplit du butin de ces écumeurs des mers : l'or du sud, la soie d'Arabie, les bijoux duVieuxMonde et les vins fins de Bretonnie. Toute la ville prospère grâce aux pirates, se retranchant derrière ses défenses et la farouche réputation de ses habitants. (...)
Contrairement à Brionne (qui tolère les pirates et ferment les yeux sur leurs agissements), Sartosa est effectivement dirigée par des pirates. Elle est administrée plus sévèrement et plus efficacement que toute autre cité duVieuxMonde. Dans les limites du port, la loi des pirates s'applique, pardonnant les larcins mais appliquant souvent la peine définitive aux meurtriers, aux escrocs et aux traitres. (...)
Ils creusèrent dans les profondeurs de la montagne et découvrirent des vallées secrètes au delà des monts. Lorsque les elfes abandonnèrent leVieuxMonde après la guerre qui les opposa aux nains, la cité fut oubliée jusqu'à ce que les tiléens redécouvrent le passage dans la montagne et l'entrée cachée du port. (...)
Il y a donc de nombreuses bandes de chevaliers mercenaires tiléens prêts à combattre pour une cité ou une autre. En temps de paix, ils cherchent souvent un employeur ailleurs dans leVieuxMonde. Ces chevaliers sont plus légèrement armés que les chevaliers des cités : armure lourde, bouclier. (...)
Les arbalétriers des cités souveraines de Tilée sont parmi les plus célèbres et courants des mercenaires duVieuxMonde et sont souvent employés par la Bretonnie et l'Empire. En plus de leur arbalète et d'une arme à une main, ils peuvent avoir une armure légère et/ou un bouclier. (...)Les Cités Souveraines de Tilée sont un groupe de cités souveraines de culture similaire bien que politiquement divisées autour de la Mer de Tilée. Ces plaines côtières sont bordées de partout de montagnes abruptes, formant une défense naturelle contre les envahisseurs. A l'ouest, les montagnes Abasko donnent directement sur la mer, offrant peu d'opportunités pour s'y installer. La côte elle-même est pleine de récifs traîtres, de telle sorte que seuls les marins expérimentés des cités souveraines ...