Kislev et ses habitants
Contient : hommes (16)(...) Kislev se trouve sur la route des Incursions du Chaos et des hordes du Chaos qui viennent des frontières des désolations du nord. Il y a deux siècles, les Incursions s'étendirent et une armée d'hommes-bêtes et autres créatures du Chaos fondit sur les territoires du nord de Kislev, détruisant tout sur son passage. (...)
Praag succombe, Erengrad résiste grâce aux alliances avec les princes Norscans, et une armée de mutants et d'Hommes-bêtes assiège Kislev. Des émissaires du Tsar Alexis vont demander l'aide de Magnus le Pieux, Empereur à Nuln. (...)
Les princes des colonies du nord demandent des troupes supplémentaires et des fonds pour de nouvelles fortifications. Les troupes sont retirées pour affronter d'importantes bandes d'hommes-bêtes et de mutants qui attaquent le sud et le centre de Kislev. Bolgasgrad, la plus importante des colonies, proteste et se sépare de la confédération kislevane. (...)
Les tentatives de colonisation ont échoué à cause de la pauvreté du sol et du climat, pour ne pas mentionner les attaques de mutants, d'hommes-bêtes et autre, en plus de la dangereuse faune naturelle, loups et ours. Il y a une demande régulière d'aventuriers dans la taïga; des chasseurs et des trappeurs peuvent y faire bonne chère s'ils survivent aux dangers, naturels ou non, de la région, et il y a toujours des opportunités de travail comme garde ou mercenaire auprès des comptoirs commerciaux et des marchands de fourrure. (...)
La taïga est proche des terres incultes et c'est un terrain de chasse idéal pour les répurgateurs et autres individus aux dispositions similaires; il court des rumeurs de véritables enclaves du Chaos dans les profondeurs de la forêt, des colonies fortifiées d'où jaillissent des guerriers du Chaos, deshommes-bêtes et d'autres atrocités, prêts à piller et à détruire. Le Translynsk : Un peu au nord du fleuve Lynsk, la limite sud de la taïga laisse place à une forêt mélangée. (...)
La Grande Forêt : C'est une continuation des forêts mixtes de l'Empire; elle est encore moins cultivable, avec ses nombreuses fondrières et ses marais, son sol encore plus pauvre et une population sauvage encore plus dangereuse. Comme dans L'Empire, des bandes de gobelinoïdes et d'hommes-bêtes se terrent ici. En plus du potentiel de chasse du Chaos, il court de nombreuses rumeurs sur d'anciennes ruines elfes et naines dissimulées dans la forêt et antérieures à la première occupation humaine de cette région [un exemple est donné p40 à 46 de Il ya quelque chose de pourri à Kislev] ; les érudits humains payeraient sans doute fort cher pour en avoir des plans, des artefacts et autres informations. (...)
Hélas, comme partout ailleurs, les germes du Chaos sont profondément enracinées et les forêts de Kislev sont sous la domination deshommes-bêtes de toutes sortes et de leurs alliés humains, ces traîtres assoiffés de pouvoirs. Les Cités-Souveraines, y compris Kislev, sont des royaumes de plein droit mais, dans les faits, elles ne sont rien d'autre que des provinces dirigées par des monarques sous la plus totale autorité du Tsar Radii Bokha de Kislev, Seigneur du Nord. (...)
Il existe une seule route majeure qui relie Kislev à L'Empire, c'est celle qui va de Middenheim à Erengrad à travers la Forêt des Ombres, et les attaques fréquentes des mutants, gobelins etHommes-bêtes, en ont fait une route impopulaire. Dans l'ouest de Kislev, chaque ville dispose d'un réseau de routes et de pistes qui connecte les villages satellites, les communautés fermières et les colonies, mais les rivières restent le moyen de communication le plus pratique et le plus économique sur de longues distances. (...)
La seule chose que les membres de cette classe semblent avoir en commun, c'est une certaine notion de la nécessité de l'amélioration de la qualité de vie, un idéal qui jure étrangement avec leur dédain bien connu et à peine déguisé pour les autres classes. Les races, la culture, la richesse et les personnalités sont très variables. - Leshommeslibres : La classe deshommeslibres inclut des aventuriers, des frontaliers, des mercenaires, des colonisateurs, des marchands, des artisans itinérants et d'autres individus de statut social bas qui voyagent pour vivre. Parmi eux, on trouve les paysans les plus audacieux et ambitieux, qui ont quitté leur terre dans l'espoir d'améliorer leur statut. (...)
Ils prennent soin de ne pas devenir dépendant des luxes de la civilisation ou de la générosité de leurs employeurs, car ils sont fiers de leur indépendance et de leur capacité à vivre sans terre. Avec la menace constante deshommes-bêtes, des mutants et des gobelins tapis dans les forêts et les collines, leshommeslibres ont l'habitude d'éviter les conflits ou de monter des embuscades. Ce style de combat forme un contraste avec les méthodes militaires actuelles, les assauts directs et féroces, et à cause de cela, les uns et les autres se méprisent considérablement. Leshommeslibres sont aussi connus pour avoir adopté les méthodes des groupes hostiles auxquels ils sont confrontés, brutalité terrifiante, trophées sinistres, raids nocturnes, etc. (...)
Lorsqu'il prie, fait des sacrifices, rend hommage à l'angle joli, le paysan s'attend à voir des résultats. Lorsque rien ne se passe, la famine et la sécheresse frappent sans pitié, leshommes-bêtes et les mutants continuent leurs raids et le dur lot du paysan continue à empirer, les prêtres prêchent l'humilité et l'acceptation passive du destin. (...)
La manière la plus facile d'atteindre Volstara est le voyage en bateau sur l'Urskoy. Des chemins longent le fleuve, mais sont des cibles potentielles deshommes-bêtes et des autres habitants de la forêt. Ivan Ilyitch Hertzen, Intendant de Voltsara (Gentilhomme) : L'intendant de Voltsara est un membre de la classe bureaucratique qui s'est élevé. (...)
[Le WD117 ne parle pas d'Ungols mais de 'Cossacks', 'Tartars' et 'Huns'. C'est à ignorer à mon avis (d'ailleurs ce n'est même pas repris à dans le LA Empire de WFB4)].Hommesd'armes : Les ungols et les gospodars forment la piétaille. Hordes Sauvages parle de hallebardiers avec cuirasse, d'arbalétriers et de 'joueurs de haches' (hache à deux mains). (...)Outre les histoires de religions (Ursun, Dash et Tor) -reprises par WFRP2-, ce qui suit n'est pas radicalement incompatible avec le livre d'armée Kislev de 2003 (WFB6). Gavin Thrope n'a pas complètement ignoré Quelque Chose de Pourri à Kislev car on trouve des détails similaires. D'ailleurs, WFRP1 se passe en 2512 et le tsar Radii Bokha ne meurt qu'en 2517, moment où il est remplacé sa fille Katarina, la Reine de Glace. Pour ceux qui ne connaissent pas les kislévites, il est surprenant de penser ...