Oni soit qui mal y pense…
sur Asmodée au format (271 Ko)
Contient : soigner (3)(...) (TERRE) Toucher de Jurojin : ND de base : variable Temps d'incantation : dix actions Durée : instantanée Concentration : entière Augmentations : temps d'incantation Effet : ce « sort », qui en réalité est une prière à Jurojin, la Fortune de la pitié, permet desoignerla cible, de guérir ses maladies et ses infections et de neutraliser les effets du poison. Le shugenja doit toucher la cible en lançant le sort (il ne contracte pas les maladies de la cible, ni n'est contaminé par un éventuel poison). (...)
Fin tragique : un de vos ancêtres a connu une fin tragique en défendant l'Empire d'Emeraude contre les hordes de l'Outremonde (vous gagnez un rang dans la compétence d'arme de votre choix et votre désir de vengeance vous a immunisé contre les effets de peur qu'inspirent certaines des créatures de Fu-Leng). - Bonne fortune : Vous disposez de cinq doses d'une potion de soins. Chaque dose permet desoignerun dé de dommages. - Relation Nezumi : vous comptez un ami parmi les hommes-rats. Ce dernier servira de lien entre sa tribu et vous, vous fournira de précieuses informations sur les terres alentour, vous cachera des oni et pourra même vous servir d'éclaireur. (...)
(EAU) Voie vers la paix intérieure : ND de base : 5 Temps d'incantation : deux actions Durée : permanente Concentration : inutile Augmentations : temps d'incantation Effet : ce sort permet au shugenja d'utiliser les énergies élémentaires poursoignerles blessures d'autrui. Une réussite permet à la cible de regagner un niveau de blessures, de même pour chaque augmentation. (...)Une histoire de famille : Le samouraï se tenait droit, presque rigide, face au vent ; face à lui, l'esprit pervers de celui qui fut autrefois l'honorable Jiuketsu s'agitait en tous sens, avec sur le visage un air tantôt narquois tantôt pervers : « - Tu ne peux me résister, petit Hojitsu, je le sais. Cesse de te faire passer pour celui que tu n'es pas ! » Un tressaillement quasiment imperceptible du samouraï fit sourire l'esprit : « - Ah ! Je te reconnais mieux maintenant. Alors, as-tu bien ...