Chronique de In Nomine Satanis / Magna Veritas ( 4ème
édition )Contient : création (3)(...) Les talents sont maintenant directement attachés aux caractéristiques pour la détermination de leurs niveaux et de l'utilisation, ce qui semblait poser pas mal de problèmes dans la troisième édition. Deux modes decréationdu personnage sont proposés : rapide ou moins rapide. La rapide, c'est pour ceux qui ne connaissent pas trop bien le monde ou ceux qui ont pas beaucoup de temps. (...)
Les avantages matériels tels que les armes, les bâtiments, les couvertures, qui étaient des pouvoirs auparavant, sont devenus des trucs à acheter pendant lacréationdu personnage. Moi je dis, c'est bien ! Les mecs qui voudront vraiment une escouade de soldats de Dieu derrière eux pourront se l'acheter, et les autres seront contents d'avoir un autre pouvoir à la place qui leur sera plus utile. (...)
Puis viennent les descriptifs techniques des Archanges et Princes-Démons, la méthode pour créer autre chose que des anges/démons, et des tables de conversion des précédentes éditions vers celle-ci. Le livre sur les anges commence par une brève histoire depuis laCréationà aujourdhui racontée par un pauvre gars à qui tout aurait été révélé. Tout y passe, la Chute, les dinosaures, Adam et Eve, lIslam. (...)Elle était annoncée, elle est enfin arrivée : la nouvelle édition du célèbre et cultissime jeu de Siroz, INS/MV. Bon, pour le principe, rien de bien nouveau, ça parle toujours de la guerre que se livrent les anges et les démons sur Terre et autres Marches Intermédiaires. C'est plutôt dans le fond du jeu, et les règles surtout, qu'il va falloir aller chercher pour trouver les nouveautés. D'un premier abord, on peu dire que la présentation est sympa. C'est vrai, j'aimais bien le simili cuir de la 3 ...