Les voyages du Conscience Tranquille - Introduction
: Belizo, 352-1104sur Loukoum On Line
Nous sommes le 352-1104. Voilà un peu moins d'un an que Gam, Al, Hans et Kyle ont quitté ensemble le SIEI pour se lancer à l'aventure au gré du hasard, à bord d'un vaisseau de classe Impératrice Marava acheté à crédit, le Conscience Tranquille. Bienvenue sur Belizo ! Le Conscience Tranquille se trouve actuellement sur Belizo, une planète aux ressources essentiellement agricoles, sur laquelle les personnages sont venus écouler des gaz pour climatiseurs, et surtout chercher une cargaison de ...Contient : message (4)(...) Mais dès les premiers arrivages, les plus impatients vont se disputer les récoltes à emporter outre-planète... Il est vrai qu'immobiliser un vaisseau sur un spatiodrome finit par coûter cher. Vous avez unmessage... En réintégrant leur bord, les personnages découvrent qu'unmessagea été laissé la veille (351-1104) sur leur répondeur. L'enregistrement, envoyé depuis le poste visiophonique d'une certaine Dame Sandra Lockhart (le titre de Dame indique que cette personne est noble), montre le visage d'une femme brune, légèrement maquillée de façon à rehausser sa bonne apparence naturelle, et portant des boucles d'oreilles coûteuses, qui pourrait fort bien être celle croisée au pied du Terrijo une bonne huitaine de jours plus tôt. (...)
Il n'y a pas de photo disponible, donc elle ne peut pas affirmer que c'est la même personne que celle qui leur a laissé lemessage, mais cela pourrait fort bien correspondre. Les quelques éléments obtenus sur cette femme indiquent qu'elle est riche, n'a pas de responsabilités à exercer, et présente un goût prononcé pour l'Aventure. (...)
Se levant souplement d'un des fauteuils d'aspect confortable à leur arrivée, la femme qui leur a laissé lemessagefait quelques pas vers eux en souriant, et après leur avoir souhaité la bienvenue, les invite du geste et de la parole à prendre place sur les fauteuils disposés en cercle autour d'une table basse posée sur une peau de grand prédateur aux poils angora : 'Asseyez vous à votre aise. (...)