Les voyages du Conscience Tranquille : Maitz (1105)
sur Loukoum On Line
De Fornice à Maitz (1105) : Ses passagers débarqués, le Conscience Tranquille se détache du spatioport orbital et entame sa descente vers le spatioport bas, qu'il atteint quelques heures plus tard et où doit être livrée la cargaison. Maitz est le fief du vicomte Lockhart, le père de Dame Sandra. Celle-ci a l'intention de passer l'escale dans sa famille. Le vicomte est le directeur local de Tukera Lines (ce qui n'est certes pas un poste très important au sein de la mégacorp, vue la taille de ...Contient : sécurité (6)(...) Les tunnels sous vide dans lesquels circulent les rames de maglev sont 'doublés' d'un réseau de tunnels permettant si nécessaire la circulation des piétons ou de petits véhicules, mais ce réseau parallèle n'est en temps normal accessible qu'à lasécuritéet aux services de maintenance. Les personnages remarquent assez vite qu'au delà de la ligne d'extraterritorialité, la présence policière est des plus réduite. A part quelques agents desécuritéportant l'uniforme de Tukera Lines ou celui de sa filiale Stellar Construction, il n'y a pas de forces de l'ordre visibles. (...)
Le taux de criminalité local n'est pourtant pas particulièrement élevé, mais il suffirait qu'un de ces individus soit pris d'un accès de démence pour qu'un carnage ait lieu... Les agents desécuritésont d'ailleurs eux-mêmes dotés d'un arsenal conséquent. S'étant eux-mêmes un minimum documentés sur les grandes lignes des particularités locales avant de quitter leur bord, les personnages savaient que Maitz est un monde dont les lois sur l'armement individuel sont relativement laxistes, et sont donc eux-mêmes sortis légèrement armés (chacun son arme de poing (arme à feu pour Hans, laser pour Kyle), avec en plus un couteau pour le capitaine ; sauf Al qui, fatigué et démoralisé par l'absence d'informations précises sur la situation sur Alnimes, n'y a pas pensé). (...)
Vue l'heure nocturne, la foule a disparu, et croiser à l'occasion au détour d'un couloir quasiment désert et à l'éclairage lacunaire un individu armé d'un ou plusieurs gros flingues, comme c'est presque la norme ici, n'en devient que plus inquiétant, d'autant que les agents desécuritésont eux aussi moins fréquents et qu'une proportion non négligeable des gens que les personnages rencontrent se trouve dans un état éthylique plus ou moins prononcé. (...)
Il a prévu d'aller à l'écart de la ville pour procéder aux premiers essais : vol télécommandé, vol programmé, tests desécurité(éviter les collisions, corriger les ordres stupides), tests de méthodes permettant d'outrepasser les sécurités. (...)
Bien qu'il soit vêtu d'un costume de ville coupé sur mesure qui lui confère une allure d'autant plus respectable que ses cheveux bruns commencent à grisonner, il s'est présenté à l'entretien porteur d'un pistolet de gros calibre, qu'il a aussitôt déposé en expliquant à Gam 'N'y voyez pas un signe de défiance à votre égard. Mais vous savez, nous sommes sur Maitz, et on se sent toujours plus ensécuritéavec ce genre de joujoux sur soi...' De la discussion qu'il a avec Gam, il ressort que l'individu parait doté d'un solide sens pratique, du sens de l'humour, et qu'il a l'habitude de voyager. (...)